1. RAPPEL DU PRINCIPE
Objet Répondre aux questions concernant l'implantation d'une centrale au Pellerin, posées par la population du site principalement et par la population nantaise acessqirement. Avantages
Inconvénients
2. CALENDRIER
3. ORGANISATlON MATERIELLE
Jours et heures de fonctionnement
(suite)
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suite:
Ainsi, lors de son prochain appel, EDF pourra lui apporter une réponse. Toutefois, il devra être précisé à l'interlocuteur qu'il est libre de poser directement sa question aux heures d'ouverture, ceci afin d'éviter une réaction de méfiance vis-à-vis de l'enregistrement). Principes de fonctionnement
En toute occurrence et quelle que soit la compétence
du cadre chargé du service d'information téléphonique,
ce dernier ne devra jamais, même s'il est sûr de lui, donner
une réponse immédiate à une question ne figurant pas
sur la liste «questions simples» (ceci afin d'éviter
les questions-piêges de l'opposition).
4. PREPARATlON DU LANCEMENT
p.9
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Des organigrammes révélateurs:
que de consultations, que d'études! Cependant qui a le droit de
veto quand il s'agit d'une volonté politique? Qui balance entre
l'intérêt général et l'avis des populations?
La doctrine en matière de sureté est définie en ces termes par J. Servant: «On sait qu'elle est fondée sur le principe de la responsabilité des exploitations et des constructeurs auxquels ils font appel. Corrélativement, la «réglementation technique» qu'elle soit propre à une installation déterminée (et précisée à l'occasion des autorisations individuelles correspondantes) ou surtout qu'elle soit «générale», c'est-àdire applicable à toutes les installations d'une même catégorie ou à tous les composants d'un même type, n'impose que les contraintes strictement indispensables à l'obtention d'une sûreté satisfaisante. Dans les règlements généraux, ces contraintes s'expriment davantage en termes d'obligations de résultats, de performances à atteindre, à la limite d'interdictions, qu'en termes de moyens à utiliser. C'est ainsi que les autorités françaises de sûreté se sont toujours refusées jusqu'ici à imposer, dans de tels règlements, des spécifications détaillées et des codes de construction, ou - ce qui reviendrait au même - à rendre obligatoire l'utilisation de codes existants.» Cependant, ainsi que Servant le note, les règles ne sont pas tout: «Mais il convient alors d'éviter un double écueil. Le premier serait de s'imaginer que l'application de telles règles générales suffit à assurer la sûreté alors qu'il demeure indispensable d'examiner, au cas par cas, la sûreté de chaque installation nucléaire: c'est l'objet des rapports de sûreté établis par les exploitants, ...» Et dans la pratique, citons toujours le même rapport: La pratique La description des procédures administratives peut donner l'impression d'une «mécanique» complexe qui respecte formellement les prérogatives des pouvoirs publics mais qui s'adapte difficilement aux réalités concrètes. En particulier les actes officiels, au terme des procédures d'autorisation, ne risquent-ils pas d'intervenir trop tard pour orienter véritablement les décisions industrielles et les choix techniques fondamentaux? Je voudrais, sur deux exemples, montrer comment la pratique a conduit à éviter l'écueil ci-dessus ou du moins à en atténuer les inconvénients: Le premier exemple est relatif au choix des sites: il est évident que lorsque s'achève la procédure d'autorisation de création d'une centrale nucléaire sur un site donné, le futur exploitant a déjà arrêté le choix de ce site, s'il n'en a pas même entrepris l'aménagement par des travaux de terrassement, voire de génie civil. (suite)
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suite:
Refuser ce site demeure certes possible si de graves raisons de sûreté
le justifient mais les conséquences d'une telle décision
en termes de coûts et délais risquent d'être désastreuses.
Dans les cas moins extrêmes qui ne sauraient justifier un refus,
la sûreté sera acquise au prix de modifications ou de compléments
difficiles à introduire et dont l'efficacité ne sera pas
aisément démontrée.
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Le GFA du Pellerin Afin de mettre en échec le projet d'implantation
d'une centrale nucléaire en basse Loire, les agriculteurs du Pellerin
et de Cheix-en-Retz ont mis sur pied un Groupement foncier agricole (GFA).
GFA Le Pellerin-Cheix en Retz
E.Trouillard, Vievre, 44460 Le Pellerin (suite)
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Que se passe-t-il en matière de radioprotection? Pour minimiser les risques et les frais, moins
les personnels sont informés, moins il y aura de contrôle,
plus ce sera facile. Cette erreur, on est en train une fois de plus de
la commettre et cette fois c'est le nucléaire qui en a le bénéfice.
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