Paris le 18 octobre 2007 I - Erreur de séquencement des séances de radiothérapie chez un patient traité au CHU de Brest Le service de radiothérapie du CHU de Brest a déclaré à l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) le 31 août 2007 la survenue d'un événement concernant le non respect de la fréquence prévue des séances de radiothérapie lors d'un traitement complémentaire d'une zone inguinale prescrit à un patient traité pour un cancer du rectum. Fin février 2007, lors de la réalisation du traitement, une dose complémentaire de 8 Grays a été délivrée au cours des 5 premières séances quotidiennes en une semaine au lieu de 5 semaines.. L'étalement du complément de dose prescrit n'a donc pas été respecté. Identifiée en mars 2007 par le CHU de Brest, cette erreur de planification des séances n'a pas été compensée. Cet événement a été déclaré à l'ASN, par le CHU de Brest, le 31 août 2007. Le 3 octobre, la division de Nantes de l'ASN et l'Agence régionale d'hospitalisation de Bretagne (ARH) ont réalisé une inspection afin d'identifier les causes et conséquences de cette erreur ainsi que les mesures correctives mises en oeuvre. Les investigations menées ont mis en évidence une difficulté conjoncturelle du service liée à une surcharge de travail ainsi qu'une ergonomie insuffisante du logiciel de traitement. Dès le mois de mars 2007, le CHU de Brest a réduit de près de 30% l'activité du service de radiothérapie. L'ASN a demandé de renforcer le signalement du séquencement des traitements au niveau du logiciel de traitement. Compte tenu de l'étendue limitée de la zone complémentaire traitée et de la dose délivrée, l'équipe médicale estime que les conséquences sanitaires attendues sont très faibles. Néanmoins, en raison du caractère non compensable de l'erreur de planification du traitement, l'ASN a classé cet incident au niveau 1 de l'échelle ASN/ SFRO qui en compte 7. Paris, le 14 janvier 2008 2-AVIS D'INCIDENT Centre de Charlebourg de La Garenne-Colombes Incident de radiothérapie au Centre de Charlebourg de La Garenne-Colombes Le 8 janvier 2008, l'ASN a été
informée par le Centre de Charlebourg de La Garenne-Colombes d'une
erreur d'exposition d'un patient survenue le 18 décembre 2007 dans
le service de radiothérapie.
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Paris, le 30 janvier 2008 2- AVIS D'INCIDENT Centre d'Oncologie de Gentilly de Nancy Incident au service de radiothérapie du Centre d'Oncologie de Gentilly de Nancy (54) Le 2 janvier 2008, l'ASN a été
informée par le Centre d'Oncologie de Gentilly, situé à
Nancy, d'une erreur survenue début décembre 2007 lors du
traitement par radiothérapie d'un patient.
Paris, le 30 janvier 2008 3-AVIS D'INCIDENT Centre Henri Becquerel de Rouen Incident de radiothérapie au Centre Henri Becquerel de Rouen - Erreur d'identification d'un patient L'Autorité de sûreté nucléaire
(ASN) a été informée le 4 décembre 2007 par
le centre régional de lutte contre le cancer Henri Becquerel de
Rouen, de la survenue d'un événement concernant une erreur
d'identification d'un patient dans le cadre d'un traitement de radiothérapie.
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Paris, le 20 décembre 2007 Incident de radiothérapie au CHU de Toulouse: l'ASN et l'Afssaps demandent l'élaboration d'un protocole national d'étalonnage des micro-faisceaux En avril 2007, le CHU de Toulouse a déclaré
une surexposition concernant des patients traités en radiothérapie
stéréotaxique. En juin 2007, la ministre chargée de
la santé a confié conjointement à l'Autorité
de sûreté nucléaire (ASN) et à l'Inspection
générale des affaires sociales (Igas) une mission d'enquête,
actuellement en cours.
Paris, le 29 janvier 2008 NOTE D'INFORMATION Centre Hospitalier d'Epinal: le dispositif de surveillance médicale des anciens patients conduit à la découverte de nouveaux cas de surexposition Le dispositif de surveillance médicale
des anciens patients du service de radiothérapie du Centre hospitalier
Jean Monnet d'Epinal, mis en place depuis mars 2007 par le ministre chargé
de la Santé, conduit à la découverte de nouveaux cas
de surexposition.
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Ces nouveaux cas s'ajoutent à une série d'événements déjà mis en évidence dans ce service de radiothérapie: * 24 patients traités pour un cancer de la prostate entre mai 2004 et août 2005 ont été surexposés d'environ 20% à la suite d'une mauvaise utilisation du logiciel de planification du traitement; * 400 patients traités pour un cancer de la prostate entre 2001 et 2006 ont été surexposés d'environ 8% par une utilisation excessive de l'imagerie contrôlant leur positionnement pendant le traitement; * parmi 4.500 patients traités pour divers cancers entre septembre 1987 et juillet 2000, et concernés par une erreur de programmation d'un logiciel interne, 312 patients ont reçu une surexposition maximale de l'ordre de 7%. Le suivi médical par les équipes médicales du Centre hospitalier d'Épinal de l'ensemble de ces patients est en cours. Dès réception du bilan médical, l'ASN procédera au classement sur l'échelle ASN/SFRO de ces événements. À chaque événement déclaré, l'ASN procède en effet à l'identification de leurs causes précises. L'ASN engagera la même démarche pour tout nouvel événement qui lui serait déclaré. L'ASN s'assurera également, au cours de ses inspections, que les enseignements tirés de ces incidents sont bien pris en compte par l'ensemble de la profession dans tous les centres de radiothérapie. L'ASN confirme qu'elle procédera en 2008, comme en 2007, à l'inspection de l'ensemble des centres de radiothérapie en France. Contact presse (Afssaps): Aude Chaboissier (01 55 87 30 33) - Magali Rodde (01 55 87 30 22) Paris 12 décembre 2007 L'ASN met en demeure les cabinets de radiologie de la société "Centre d'Imagerie Médicale" situés à Hautmont, Anzin, Fourmies, Wattignies (59) et à Hirson (02) Les 29 novembre et 5 décembre 2007,
l'ASN a procédé à l'inspection inopinée des
5 cabinets de radiologie de la société "Centre d'Imagerie
Médicale" exerçant à Hautmont, Fourmies, Wattignies,
Anzin (59) et Hirson (02). Ces inspections ont été
réalisées à la suite d'un signalement à l'ASN,
le 30 octobre 2007, par l'Agence française de sécurité
sanitaire des produits de santé (Afssaps) de la non-remise en conformité
d'une installation de mammographie au centre de Haumont. Elles s'inscrivent
dans le cadre des actions coordonnées par la direction générale
de la santé qui ont conduit à la suspension d'activité
du médecin radiologue responsable par le Préfet de l'Aisne.
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A la suite de ces constats, l'ASN a adressé une mise en demeure au "Centre d'Imagerie Médicale" afin que les installations de ces différents cabinets soient mises en conformité, que les contrôles techniques soient réalisés et que les installations soient manipulées par des personnels habilités et formés. Au vu des résultats des mesures réalisées sur l'appareil de mammographie situé à Haumont, l'ASN considère que la réalisation d'images de mauvaise qualité est susceptible de conduire à un diagnostic erroné pour les patientes. Une information des patientes telle qu'annoncée par les autorités sanitaires ce jour est par conséquent justifiée. En revanche, l'éventuelle surexposition des patients mais aussi du personnel qui a participé à la réalisation des clichés, du fait de la non-conformité de l'appareil utilisé, est sans conséquence pour leur santé. L'ASN rappelle que les cabinets de radiologie utilisant des appareils émettant des rayons X sont soumis aux dispositions du code de la santé publique et du code du travail ainsi qu'à une obligation de déclaration des appareils de radiodiagnostic. L'ASN est chargée depuis 2004 de recevoir ces déclarations et de contrôler la réglementation relative à la radioprotection des travailleurs, du public et des patients dans ces installations médicales. Elle procède à des opérations de contrôle inopinées de cabinets de radiologie médicale et dentaire. Tel a été le cas en juin et en août 2007 dans les régions Alsace, Lorraine, Pays de la Loire et Bretagne. L'objectif recherché est de vérifier le respect de la réglementation relative à la radioprotection des travailleurs et des patients et de faire émerger les difficultés récurrentes rencontrées par les praticiens sur le terrain. Paris, le 13 août 2007 AVIS D'INCIDENT Incident de radiothérapie au Centre Hospitalier de Montélimar Le 18 juillet 2007, l'ASN a été
informée par le Centre Hospitalier de Montélimar d'une erreur
d'exposition d'un patient survenue la veille dans le service de radiothérapie.
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Paris, le 24 octobre 2007 AVIS D'INCIDENT Incident de radiothérapie à Lille (Nord) Le 27 août 2007, l'ASN a été
informée, par le Centre de lutte contre le cancer Oscar Lambret
de Lille, de la surexposition d'un patient traité en radiothérapie
externe.
Paris, le 20 novembre 2007 AVIS D'INCIDENT Centre de Protonthérapie d'Orsay Incident de radiothérapie au Centre de Protonthérapie d'Orsay (91) L'Autorité de sûreté nucléaire
(ASN) a été informée le 12 novembre 2007, par le centre
de Protonthérapie (1) d'Orsay, de la survenue d'un événement
concernant le dépassement de la dose prescrite lors d'une séance
délivrée dans le cadre d'un traitement de radiothérapie
oculaire.
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Dans le cadre du programme annuel de contrôle des installations de radiothérapie, une inspection de l'ASN est programmée le 10 décembre 2007. Cette inspection portera sur le contrôle de la radioprotection des patients par une approche axée sur les facteurs organisationnels et humains. Elle sera également l'occasion de s'assurer de la réalisation des mesures correctives proposées à la suite de cet incident, notamment, la mise en place des contrôles effectués sur les équipements de la chaîne de traitement. Compte tenu de la dose délivrée, l'équipe médicale estime que cette erreur ne devrait pas entraîner de conséquence pour la santé du patient. L'ASN classe cet incident au niveau 1 de l'échelle expérimentale ASN / SFRO des événements en radiothérapie. Ce classement pourrait être revu si des éléments ultérieurs le justifiaient. Paris, le 30 janvier 2008 AVIS D'INCIDENT Centre hospitalier de Beauvais Incident de radiothérapie au Centre hospitalier de Beauvais Le 26 novembre 2007, le Centre hospitalier
de Beauvais a informé l'ASN d'une erreur d'exposition d'un patient
survenue dans le service de radiothérapie.
Paris, le 11 décembre 2007 AVIS D'INCIDENT Contamination d'un local où intervenait du personnel extérieur au centre Val d'Aurelle à Montpellier (34) L'Autorité de sûreté nucléaire
(ASN) a été informée le 12 novembre 2007 d'un incident
de contamination impliquant du personnel d'une société extérieure
au service de médecine nucléaire du centre Val d'Aurelle
- Paul Lamarque (centre de lutte contre le cancer) de Montpellier.
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L'incident n'a pas eu de conséquence sur le personnel. Néanmoins, en raison du défaut d'assurance qualité et de la non-prise en compte de certaines exigences réglementaires dans la gestion de cet événement, l'Autorité de sûreté nucléaire a décidé de le classer au niveau 1 de l'échelle expérimentale des événements radiologiques INES. Paris, le 12 février 2008 NOTE D'INFORMATION Le service de radiothérapie du centre
René Huguenin (Saint-Cloud, 92) met en place une démarche
efficace de retour d'expérience
Paris, le 12 février 2008 AVIS D'INCIDENT Centre René Huguenin à Saint-Cloud (92) Incidents de radiothérapie au centre René Huguenin à Saint-Cloud (92) Dans le cadre de sa démarche visant à recueillir les événements pouvant survenir lors de traitements de radiothérapie, le service de radiothérapie du centre René Huguenin à Saint-Cloud (92) a déclaré à l'ASN neuf incidents survenus de janvier à novembre 2007. * Cinq incidents concernent l'oubli de caches, utilisés pour protéger les organes à risques lors des traitements, chez cinq patients différents. Ces oublis sont survenus soit après la modification de la dosimétrie en cours de traitement, soit dès la première séance. * Un incident est lié au mouvement d'un patient au cours d'une séance de radiothérapie. Les caméras permettant de contrôler en permanence la position du patient durant l'irradiation ont permis au manipulateur d'arrêter immédiatement la séance de traitement. * Un incident est dû à la confusion de deux zones à traiter chez un même patient. Pour un traitement nécessitant l'irradiation de deux zones distinctes, une erreur humaine a amené à l'irradiation d'une zone par un autre faisceau que celui initialement prévu. Se rendant compte de l'erreur, le manipulateur a immédiatement arrêté la séance en cours. La nouvelle dose à délivrer a été recalculée en fonction de cette confusion. * Un incident est dû à la modification d'un traitement qui n'a pas été correctement enregistré dans le logiciel pilotant l'appareil. C'est donc une séance programmée lors de la planification initiale du traitement qui a été réalisée, amenant à délivrer une dose au patient différente de la prescription. * Le dernier incident résulte d'une erreur de lecture d'une prescription, amenant à un traitement inadéquat. Le traitement a été rectifié après qu'un manipulateur se soit rendu compte de cette erreur. Dans ces neuf cas, le centre René Huguenin indique qu'aucune conséquence sur la santé des patients n'est attendue. L'ASN classe ces incidents au niveau 1 de l'échelle expérimentale ASN-SFRO. p.18
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Des actions correctives ont été engagées par le centre René Huguenin pour que des incidents similaires ne se renouvellent pas. La présence des caches adéquats est vérifiée automatiquement avant le lancement d'une séance. Les circuits de validation des traitements ont été également redéfinis pour empêcher de nouvelles erreurs en cas de modification de la dosimétrie ou d'écriture peu lisible sur une prescription. Des moyens de contention sont disponibles dans les salles de traitement pour rendre plus confortable la position des patients et éviter ainsi leur déplacement lors de l'irradiation. L'ASN constate que les origines de ces neuf événements sont des défaillances organisationnelles et humaines. L'ASN a ainsi incité le centre René Huguenin à approfondir l'analyse des événements sous l'angle des facteurs organisationnels et humains. NOTE: L'échelle expérimentale ASN / SFRO vise à permettre une communication vers le public, en des termes accessibles et explicites, sur les événements de radioprotection conduisant à des effets inattendus ou imprévisibles affectant des patients dans le cadre d'une procédure médicale. Elle est testée sur 1 an à compter du 5 juillet 2007. Le bilan de cette première année d'expérimentation sera évalué conjointement par l'ASN et la SFRO. L'échelle expérimentale ASN / SFRO est consultable sur le site de l'ASN. COMMENTAIRES Gazette
Information complémentaire sur Toulouse Lettre de suivi d'inspection (INS-2007-ENTBOR-082 du 3 mai 2007) (..) Synthèse du contrôle
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Les patients traités en radiochirurgie stéréotaxique au CHU de Toulouse font l'objet d'un suivi médical trimestriel et les inspecteurs de l'ASN ont bien noté qu'à ce jour, il n'est rapporté aucun événement clinique fonctionnel parmi ces 143 patients. Un rapport de synthèse présentant les paramètres dosimétriques recalculés pour les 145 patients a été remis en séance par le CHU aux inspecteurs. Il est acté que le redémarrage de l'accélérateur est tout à fait envisageable, après mise en œuvre des procédures d'acceptance de logiciel de dosimétrie. Une comparaison des isodoses d'un dossier patient avec un autre centre Novalis sera également une garantie supplémentaire de sécurisation des traitements. Enfin, la question de l'information des patients liée à celle de la communication sur l'événement a été abordée. L'information doit être rendue publique dans un délai raisonnable, tout en laissant le temps à l'établissement d'informer et d'accompagner les patients dans l'annonce de cet événement. La stratégie de communication sera définie après consultation des instances décisionnelles du Ministère de la santé et de l'ASN. A-Demandes d'actions correctives
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Demande A2: Je vous demande d'initier une analyse des risques au sein de votre service afin de formaliser vos processus de travail, d'identifier les opérations critiques et de décliner en réponses les dispositions structurelles et organisationnelles adaptées. Demande A3: Je vous demande de mettre en place un système de recensement et d'enregistrement de tout événement pouvant être comme un écart précurseur d'incident. Suivi des patients Vous assurez une surveillance systématique et régulière des patients après leur traitement. Suite à l'écart de dose, une consultation exceptionnelle est proposée à tous les patients et le suivi médical sera étendu à plusieurs années, au regard du délai d'apparition d'effets secondaires potentiellement liés au traitement. Demande A4: Je vous demande de m'informer des résultats du suivi clinique des patients après la consultation exceptionnelle post-incidentelle, et ensuite annuellement et en cas de tableau clinique suggérant une complication radio-induite récemment survenue. B- Compléments d'information Analyse de l'incident Demande B1: Je vous demande d'établir et de me faire parvenir un compte-rendu de l'incident. Il devra présenter l'analyse des causes à l'origine de l'incident, le retour d'expérience tiré de l'événement par le service et le CHU, et de détailler les actions correctives développées pour éviter qu'une telle situation ne se reproduise. L'analyse des causes devra notamment aborder les facteurs organisationnels et humain (charge de travail, compétence, formation, etc.). |
Ce compte-rendu détaillera également: - les conditions expérimentales précises de réalisations des mesures erronées ayant entraîné les erreurs d'étalonnage ; - Les conditions expérimentales précises de la reprise des mesures après la découverte de l'incident ; - les résultats des mesures de facteurs de diffusé, avant et après correction, pour tous les faisceaux impactés par l'erreur. Données dosimétriques des patients Demande B3: Je vous demande de compléter le tableau synthétique final des données dosimétriques anonymes des 145 patients par une colonne supplémentaire mentionnant, pour chaque patient, la dose prescrite initialement à l'enveloppe du PTV et l'iso-dose correspondant. Dossiers patients L'IRSN a relevé, dans le tableau synthétique final des données dosimétriques, 6 patients pour lesquelles les contraintes de doses aux organes à risque que vous avez retenues ont été dépassées sur des volumes significatifs de l'organe. Demande B4: Je vous demande de transmettre, de manière confidentielle à un médecin de l'IRSN (M. le Pr Gourmelon), les dossiers complets de ces 6 patients contenant les biogrammes dose-volume, les courbes isodoses, le plan de traitement et le dossier clinique. p.20
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