L'énergie
nucléaire est bénéfique en terme de CO2
(Ndwebmaistre: quoique en intégrant toute la chaîne du nucléaire
- du berceau à... la tombe (!) - le bilan est loin d'être
négligeable...). Mais elle engendre beaucoup d'autres conséquences
négatives en terme d'environnement.
Beaucoup de gens considèrent que la France est en avance en matière d'énergie grâce au nucléaire. Elle émet d'ailleurs moins de CO2 que la moyenne des pays européens. Observons d'abord que l'énergie nucléaire possède quelques petits inconvénients comme le risque de dissémination à des fins militires ou le stockage des déchets. Mais le principal inconvénient tient à ce que le nucléaire a rendu la France paresseuse en lui évitant de faire des efforts dans d'autres secteurs de l'énergie. En matière d'économies d'énergie, de chasse au gaspi, le nucléaire a conduit à développer de manière inconsidérée l'électricité; en matière d'isolation, les logements français sont souvent anciens et la France consomme plus d'énergie que la Suède ou l'Allemagne; en matière d'urbanisme, on s'étale, on fait du pavillon, c'est d'ailleurs pour cette raison qu'il y a de la ségrégation sociale, les barres sont réservées aux pauvres.(*) |
Autre handicap provoqué par le choix du
nucléaire, le développement de la grande distribution a été
un désastre écologique majeur. Le mensuel Alternatives économiques
vient de publier un excellent dossier sur le sujet : à la laideur
de la périphérie des villes, s'ajoutent le gaspillage et
la pollution dûe aux voitures et le gaspillage provoqué par
les emballages car la France est le pays qui emballe le plus et recycle
le moins.
La commission Attali risque de se révéler une catastrophe écologique. Non seulement par son idolâtrie de la croissance, mais aussi par son souhait de développer encore et encore la grande distribution, alors que la France est le deuxième pays d'Europe en termes d'utilisation de la voiture juste derrière l'Italie. Enfin, la France est le dernier pays d'Europe en matière d'énergie renouvelable. Le premier est le Royaume Uni devant l'Allemagne. La France est championne d'Europe et de loin des engrais et des pesticides, merci la PAC (deux fois plus que la moyenne européenne) très loin devant l'Allemagne. En termes d'émissions de dioxine, on doit à la France le quart des émissions européennes totales! Bref, il y avait du travail et on verra le résultat du «Grenelle de l'environnement».... (*) Ndw: quoique là, je ne vois pas bien le rapport avec le nucléaire... |
Des forages
sont effectués dans la zone de la Meuse et de la Haute-Marne, où
pourrait être installé le futur centre de stockage des déchets
radioactifs.
À BURE (Meuse), les premières galeries du laboratoire de recherche sur le stockage souterrain de déchets radioactifs sont terminées. En juillet, les entreprises Bouygues et Charbonnage de France Ingénierie ont donné les clés à l'Andra (Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs). À 490 mètres sous terre, tout est propre et bien rangé. Des fils partout, des capteurs plantés dans les parois. Le silence ne va cependant pas durer longtemps. De nouvelles galeries vont bientôt être creusées dans l'épaisse couche du callovo-oxfordien, une argile grise de 155 millions d'années dont les scientifiques doivent à tout prix s'assurer qu'elle est capable de confiner les radionucléides pendant des milliers d'années et qu'il ne peut pas y avoir de remontées d'eau à travers d'éventuelles failles. Les nouveaux souterrains permettront de conduire des expériences très concrètes liées au stockage (tests de bouchons d'alvéoles, dégradation des matériaux, diffusion des radionucléides, transferts de gaz, prise en compte de la réversibilité du stockage, etc.). On n'est donc plus dans la recherche fondamentale. Les chercheurs font désormais place aux ingénieurs. L'éventualité du stockage se précise. «On ne va pas prendre les gens par surprise. On va dire tout ce qu'on va faire», assure Marie-Claude Dupuis, directrice de l'Andra. L'agenda qui pourrait aboutir en 2025 à la mise en exploitation d'un centre de stockage des déchets radioactifs de haute activité à vie longue est connu, et a été défini par la loi de juin 2006. Le site potentiel de stockage d'une superficie de 250 km2 est connu depuis 2001. Il se trouve à l'intérieur de ce que l'Andra appelle la «zone de transposition» qui a été définie à partir des connaissances que l'on a de la géologie du Bassin parisien, à cheval sur les départements de la Meuse et de la Haute-Marne. Depuis un mois, l'Andra explore cette zone en y effectuant toute une série de forages. «C'est une étape importante. On sort du laboratoire», souligne Marie-Claude Dupuis. Les 14 forages prévus visent notamment à vérifier la profondeur et l'épaisseur de la couche du callovo-oxfordien, deux éléments essentiels pour la sûreté. Des camions vibreurs vont parcourir la campagne pour étudier la sismicité. |
«Opposition au projet»
Un forage profond à 2.000 mètres dans le Trias (entre - 251 et - 199,6 millions d'années) devrait aussi permettre de vérifier si la zone a un potentiel géothermique, comme l'ont demandé les opposants au projet dans le cadre du Clis (Comité local d'information et de suivi). En effet, le site de stockage ne doit pas être installé dans une zone possédant des ressources exceptionnelles exploitables dans le sous-sol. Au terme de ces travaux, l'agence devrait être en mesure de définir une nouvelle zone dite d'intérêt restreinte, d'une superficie de 30 km2. C'est à l'intérieur de cette nouvelle zone qu'en 2013 l'Andra proposera le site où pourrait être construit le centre de stockage. Cette proposition fera alors l'objet d'un débat public avant d'être examinée par l'Assemblée nationale. «Il y a une opposition au projet. Je la respecte», assure la directrice de l'Andra, qui considère le Clis comme son interlocuteur privilégié mais se déclare aussi ouverte à des discussions avec le public. L'Andra a d'ailleurs embauché un sociologue pour l'aider dans ses rapports avec les populations. L'incertitude tient pour l'instant au Clis lui-même. En effet, son prochain président pourrait être Christian Bataille, député PS du Nord et auteur de la loi sur les déchets nucléaires. Sa candidature a été proposée par le président du conseil général de la Meuse. Mais fera-t-elle l'unanimité? M. Bataille est une personnalité extérieure à la région, connue pour ses positions en faveur du nucléaire. Il a critiqué dans un récent rapport le fonctionnement du Clis, qu'il accuse de faire trop de place aux antinucléaires. Une deuxième vie pour le laboratoire (http://www.lefigaro.fr): Le laboratoire souterrain de Bure n'est pas et ne sera jamais un centre de stockage, contrairement à ce que certains ont cru au début. Il n'en a jamais été question. «Ses galeries sont trois fois trop petites pour accueillir des déchets nucléaires à haute activité et à vie longue», assure Jacques Delay, son directeur scientifique. Les recherches et le laboratoire ont coûté néanmoins très cher, environ 1 milliard €. C'est pourquoi l'agence aimerait bien valoriser le site en en faisant une très grande infrastructure de recherche au lieu de le reboucher après 2013. Une première réunion est organisée le 30 novembre prochain, à Paris, pour exposer ce projet à la communauté scientifique. |
Le Centre
Helmholtz de recherche de Karlsruhe (FZK) s'est vu accorder 3,5 millions
€ supplémentaires de la part du Ministère fédéral
allemand de l'enseignement et la recherche (BMBF) afin de développer
de nouvelles technologies dans le domaine de la fusion nucléaire.
Il
s'agit de travaux qui dépassent largement le seul projet
ITER.
L'accord entre l'Union européenne et le Japon prévoit, en
effet, d'aller bien plus loin, et de préparer, parallèlement
à la construction d'ITER, des technologies pour la centrale à
fusion prototype (DEMO) qui doit être construite au Japon.
Un élément essentiel de cet accord est la construction d'une source neutronique IFMIF (International Fusion Materials Irradiation Facility) nécessaire pour étudier les matériaux rentrant dans la composition de DEMO. Le FZK développe la partie centrale de l'installation, une cellule dans laquelle les échantillons miniatures sont irradiés par des neutrons pendant plusieurs années, simulant ainsi les conditions prévues dans une centrale à fusion. Après des études préliminaires couronnées de succès, le ministère met donc à disposition ces moyens financiers afin de passer à l'étape de fabrication. De plus, l'année prochaine, un circuit d'hélium expérimental sera construit pour soumettre cette cellule aux conditions d'exploitation réelles. |
Le financement reçu
va également permettre la mise en oeuvre d'un deuxième projet,
la préparation d'un supraconducteur à haute température
pour les aimants de la future installation japonaise, afin de permettre
une économie d'énergie significative. En effet, la température
à laquelle se manifeste leur supraconductivité est d'environ
80 Kelvin (-193°C), alors qu'elle est de 4 Kelvin (-269°C) pour
les supraconducteurs classiques, dits à basse température.
Pour en savoir plus, contacts: - Dr. Joachim Hoffmann, Directeur du département Publications - Centre de recherche de Karlsruhe, BP 3640, D76021 Karlsruhe - tél : +49 7247 82 2860, fax : +49 7247 82 5080 - email : joachim.hoffmann@oea.fzk.de - http://www.fzk.de/ Source: Communiqué de presse du Centre de recherche de Karlsruhe - 08/10/2007 Rédacteur: Nicolas Tinois, nicolas.tinois@uni-bonn.de Origine: BE Allemagne numéro 357 (18/10/2007) - Ambassade de France en Allemagne / ADIT |
La gestion
des déchets radioactifs est examinée lundi et mardi à
Berne lors d'une conférence internationale. Celle-ci réunit
plus de 180 représentants de nombreux pays ainsi que le conseiller
fédéral Moritz Leuenberger.
Le Conseil fédéral prendra début 2008 les prochaines décisions concernant l'entreposage des déchets radioactifs, a annoncé Moritz Leuenberger. La procédure complète pour le choix définitif du lieu d'entreposage jusqu'à la votation populaire durera probablement sept à dix ans, selon le ministre de l'Energie. Dans son discours, tenu devant 180 spécialistes au Centre Paul Klee à Berne, le conseiller fédéral a réprimandé sévèrement aussi bien les adversaires que les partisans des centrales nucléaires. «Que l'on soit pour ou contre l'énergie nucléaire; que l'on utilise ou non l'électricité des centrales nucléaires; que l'on ait ou non manifesté à l'époque contre les centrales nucléaires, peu importe: nous avons tous la responsabilité de l'élimination sûre des déchets radioactifs», a dit Moritz Leuenberger. Critiques de Moritz Leuenberger Ceux qui aimeraient le plus ardemment protéger les gens des radiations radioactives devraient justement, pour cette raison, s'engager le plus fortement pour des dépôts sûrs en couches géologiques profondes. Sinon, ils ne sont pas loyaux envers leurs descendants, a indiqué le ministre. |
Il n'a pas épargné
non plus le lobby du nucléaire. Certains de ses représentants
veulent construire immédiatement un dépôt en profondeur.
Ces gens banalisent l'opposition de la population et préféreraient
passer outre toutes les règles du jeu démocratique.
Il y a en outre des tacticiens qui se préoccupent avant tout de la construction de nouvelles centrales nucléaires, a critiqué le ministre. Il faut faire preuve de patience dans la recherche d'un site d'entreposage approprié. La Suisse n'est qu'au début de toute la procédure et il faut recourir à la transparence et à la participation. Un long processus L'élimination des déchets nucléaires a été longtemps considérée comme une tâche à court terme d'une seule génération, a dit pour sa part Luis Echavarri, directeur de l'Agence pour l'énergie nucléaire (AEN). Entretemps, c'est devenu un processus qui s'étendra sur plusieurs générations et plusieurs décennies. Des représentants de nombreux pays participent à la conférence, organisée par la Société coopérative nationale pour le stockage des déchets radioactifs (Nagra). Durant deux jours, les participants discuteront des derniers résultats en matière de manipulation des déchets, esquisseront diverses approches de solutions et compareront les programmes nationaux entre eux. |
Italy will
not reverse its Chernobyl-era ban on nuclear power, its government said
on Wednesday. Instead it urged power companies to focus on renewable energy
as part of an effort to combat global climate change.
Calls for a Italian nuclear renaissance have intensified as, with scant
domestic energy sources, it seeks to diversify its supplies and trim dependence
on fuel imports
"Given that the results of a popular referendum of 1987 cannot be cancelled with a stroke of pen, a nuclear choice is neither safe nor convenient in the short-term," said Alfonso Gianni, undersecretary at the Economic Development Ministry. Gianni was delivering a statement to the lower chamber of parliament, and cited concerns about high costs of constructing nuclear plants and their decommissioning as well as waste management. The only exception should be made for a scientific research in a new generation of nuclear reactors -- in which Italian energy groups participate by joining projects abroad, he said. Gianni said he was surprised by the head of Milan's utility AEM, Giuliano Zuccoli, who earlier on Wednesday called for an immediate restart of one nuclear power station, in northern Italy, and the construction of three new plants. |
Supporters of nuclear
say it would help to reduce emissions of heat-trapping carbon dioxide (CO2)
and dependence on costly fossil fuel imports, thus trimming Italian electricity
prices, among the highest in Europe.
Italy imports about 80-90% of fossil fuels it needs. "We need to dismantle a legend that nuclear energy is expensive and we should let everyone know that plants are safe," Zuccoli told an energy conference. But Gianni said nuclear energy raises a complex of environmental problems as well as risks of non-peaceful use. "The main road is the development of renewable energy, in particular, photovoltaic," he said. Italy has approved changes to a law aimed to boost photovoltaic energy which transforms sunlight into power, prompting analysts to forecast that sunny Italy may become Europe's new frontier for solar energy. |
MARC MENNESSIER.
Publié le 11 octobre 2007 Le professeur biélorusse, célèbre pour ses travaux sur les conséquences sanitaires de la catastrophe de Tchernobyl, se déclare forcé de quitter la France. «Je ne suis pas venu ici pour passer ma vie à ne rien faire entre mon appartement, le square ou le supermarché de mon quartier.» Le Dr Iouri Bandajevski, ancien recteur de l'Institut de médecine de Gomel, ville biélorusse située à une centaine de kilomètres de Tchernobyl, ne supportait plus la relative oisiveté à laquelle il était contraint depuis son arrivée dans notre pays, il y a dix-huit mois. La semaine dernière, cet homme d'une cinquantaine d'années, que ses travaux controversés sur les retombées sanitaires de l'explosion de la centrale ukrainienne ont rendu mondialement célèbre, a donc décidé de s'installer à Weimar, en Allemagne. Il travaillera au sein d'une association spécialisée dans l'accueil d'enfants contaminés par Tchernobyl. «J'espérais continuer mes expérimentations en France, mais on m'a fait comprendre très clairement que ce ne serait pas le cas», a-t-il expliqué, il y a une dizaine de jours à Paris, lors d'une conférence de presse. Condamné en 2001 par la justice biélorusse à huit ans de prison pour corruption au terme d'un procès entaché d'irrégularités, Iouri Bandajevski avait finalement bénéficié, au printemps 2004, d'une libération anticipée suivie d'une relégation dans un kolkhoze. Les autorités de cette ancienne république soviétique ont-elles voulu punir l'homme qui ne cesse de les accuser d'avoir caché la véritable ampleur de la catastrophe? «Juste après l'explosion, il était possible d'éviter les contaminations. Mais, à l'époque, les responsables de l'URSS que j'avais immédiatement alertés m'ont répondu que ce n'était pas la peine», s'insurge-t-il. |
Grâce à
l'intervention de Stéphane Chmelewsky, ambassadeur de France en
Biélorussie, Iouri Bandajevski fut finalement extradé vers
la France en avril 2006. La ville de Clermont-Ferrand, jumelée avec
Gomel, met un appartement à sa disposition et le Conseil régional
lui octroie une bourse de 40.000 € et demande à l'université
d'Auvergne Clermont-I de lui trouver une affectation. Mais Bandajevski
déchante rapidement. Des correspondants anonymes lui demandent «de
quitter la ville». Surtout, il a le sentiment que «la
direction de l'université ne souhaite pas travailler avec (lui)»,
affirmant même qu'Annie Veyre, la présidente à l'époque,
refuse de le recevoir.
«Faux!, répond l'intéressée jointe par Le Figaro. Je lui ai proposé plusieurs rendez-vous, mais il n'était jamais disponible. Par ailleurs, M. Bandajevski n'a jamais demandé à être affecté dans l'un de nos laboratoires. » Laurent Gerbaud, chef du service de santé publique au CHU de Clermont-Ferrand, qui dépend de l'université d'Auvergne, atteste, au contraire, que le chercheur biélorusse a travaillé dans son équipe pendant toute la durée de son séjour. Héros ou charlatan
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Le groupe EDF vient d'être
autorisé à procéder au démantèlement
complet de la centrale nucléaire de "Chooz A" dans les Ardennes.
Une autorisation qui fait suite à la récente suspension du
démantèlement de Brennilis, dans le Finistère.
Cette centrale est un réacteur à eau sous pression qui a produit de l'électricité entre 1967 et 1991. Sur le même site, EDF a mis en service, il y a une dizaine d'année, une autre centrale ("Chooz B") qui compte deux réacteurs d'une puissance de 1.450 mégawatts chacun. En 1999, EDF avait été autorisé à procéder au démantèlement partiel du réacteur de Chooz A. Cinq ans plus tard, la société a déposé auprès de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) une demande d'autorisation de mise à l'arrêt définitif et de démantèlement complet de l'installation. |
Dans son décret paru samedi, le ministère
de l'Economie vient d'autoriser le démantèlement complet
de la centrale de "Chooz A", au vu notamment des "résultats de l'enquête
publique", organisée du 28 août au 29 septembre 2006.
Suspension du démantèlement de Brennilis Le démantèlement complet de la centrale nucléaire de Brennilis, dans le Finistère, le premier à être autorisé, a été suspendu début juin après l'annulation du décret l'y autorisant, faute d'une procédure d'information du public. Le démantèlement ne devrait pas avoir lieu avant deux ans. Sa déconstruction devait servir de test pour valider les procédures techniques qui seront appliquées pour la déconstruction intégrale de huit autres centrales mises à l'arrêt d'ici à 2025 : Bugey 1, Chinon A (1, 2 et 3), Chooz A, Creys-Malleville -qui a également fait l'objet d'un décret autorisant le démantèlement total-, et Saint-Laurent A (1 et 2). |
L'alliance INRA (International
Nuclear Recycling Alliance), conduite par Areva et Mitsubishi Heavy Industries,
Ltd, et incluant Japan Nuclear Fuel, Ltd, Washington Group International,
BWX Technologies, Inc. et Battelle, ont signé aujourd'hui un contrat
avec le Department of Energy (DOE) pour étudier le développement
aux Etats-Unis d'une usine de traitement des combustibles nucléaires
usés et d'un réacteur de
génération avancée
pour les recycler.
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Le consortium emmené
par Areva vient de se voir confier un contrat pour étudier la faisabilité
de la toute première usine américaine de traitement et de
recyclage des combustibles usés. Un sujet hautement politique.
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http://www.news.com.au FIFTY years of British
industrial history were reduced to rubble within a couple of minutes yesterday.
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http://news.sky.com Four cooling towers at
Sellafield's Calder Hall site in Cumbria have been razed to the ground
after helping generate electricity for nearly 50 years.
Explosion Marks End Of An Era
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