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Sources
ADIT:
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l'Espagne veut abandonner l'atome
(http://www.enviro2b.com):
Alors que la Grande-Bretagne
veut faire remplacer ses installations nucléaires vieillissantes
par de nouvelles centrales, en Espagne, les socialistes au pouvoir veulent
abandonner l'atome.
En début de semaine dernière,
José Luis Zapatero, Premier ministre espagnol, a autorisé
à ce que cette "résolution ferme" soit mentionnée
dans le programme électoral de son parti dans la perspective des
législatives qui se dérouleront le 9 mars prochain. Selon
le quotidien Libération paru vendredi, pour des raisons logistiques
et de sécurité, les 8 centrales espagnoles ne seront pas
fermées immédiatement, mais elles ne fonctionneront pas "au-delà
du nécessaire". |
Il y a deux ans, les socialistes avaient fermé
la centrale de Zorita, près de Madrid. L'année prochaine,
ce sera celle de Garoña, en Castille-et-Leon qui sera arrêtée.
Les autres installations construites dans les années 80 seront-elles
aussi fermées au terme de "leur durée de vie utile",
c'est-à-dire entre 2021 et 2028. Les socialistes préfèrent
remplacer l'énergie nucléaire par des "énergies
plus sûres, plus propres et moins onéreuses".
Alors qu'au début de son mandat, le
Premier ministre espagnol évoquait une "diminution" du nucléaire,
aujourd'hui, il parle de sa "disparition nécessaire".
Pour les socialistes, le nucléaire est trop cher, trop dangereux
et peu populaire. En effet, selon un sondage du Centre d'investigations
sociologiques (CIS) réalisé en juin dernier, les trois quarts
des Espagnols sont favorables à une diminution du nucléaire. |
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Premières centrales nucléaires
en Turquie:
http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/52561.htm
Le ministre de l'Energie turc, M. Himli Güler,
a annoncé le 23 novembre 2007 un prochain appel d'offre pour la
première centrale nucléaire turque.
C'est la TETAS, la compagnie publique de distribution
d'électricité, qui devrait lancer cet appel d'offre le 21
février 2008. D'ici là, le TAEK (l'institut turc de l'énergie
atomique) aura rendu son cahier des charges concernant la construction
et l'exploitation de cette centrale, conformément à la loi
récemment entérinée - cette loi avait été
votée une première fois par le parlement, mais l'ancien président
turc Ahmet Necdet Sezer avait mis sont véto en mai dernier. La loi
a ensuite été débattue une nouvelle fois au parlement
en octobre, puis votée et enfin approuvée par le nouveau
président, Abdullah Gül, courant novembre 2007.
Le gouvernement a fait savoir son intention
de se doter au total de trois centrales nucléaires, d'une puissance
totale d'environ 5.000 MW pour une mise en service prévue pour 2012.
L'emplacement prévu pour l'une de ces centrales, à Sinop,
soulève de nombreuses protestations, mais le TAEK semble décidé
à poursuivre son action.
D'après la loi votée au parlement,
le conseil des ministres devra se prononcer sur la création d'une
entreprise publique en charge de ces centrales, dont certaines entreprises
privées pourront obtenir des parts. Cette loi prévoit également
que l'Etat aura le monopole de la production pendant les quinze premières
années.
C'est la cinquième tentative d'Ankara
pour se doter du nucléaire civil, et la plus aboutie à ce
jour.
Source:
- Turquie Européenne - http://www.turquieeuropeenne.eu
- The New Anatolian, 30/11/2007 - http://www.thenewanatolian.com.tr
Rédacteur:
Sami Karkar, sami.karkar@diplomatie.gouv.fr
Origine:
BE Turquie numéro 6 (15/01/2008) - Ambassade de France en Turquie
/ ADIT |
http://www.romandie.com
ANKARA - La Turquie a décidé de construire sa première
centrale nucléaire sur un site controversé dans le sud du
pays, a affirmé mardi le ministre de l'Energie Hilmi Güler.
"L'endroit où tout est actuellement
prêt (pour le construction) est Akkuyu", a déclaré
M. Güler sur la chaîne de télévision NTV.
En 2000, la Turquie avait du renoncer à
un projet de construction de centrale nucléaire à Akkuyu,
sur la côte méditerranéenne, en raison de difficultés
financières.
Le projet avait également été
vivement critiqué par les défenseurs de l'environnement,
qui s'inquiétaient de la construction d'un réacteur à
seulement 25 km d'une ligne de fracture sismique.
Le gouvernement doit lancer un appel d'offre
le 21 février pour la construction d'une centrale devant être
opérationnelle en 2013 ou 2014.
M. Güler a indiqué que des travaux
préparatoires étaient également en cours pour la construction
d'un second réacteur dans le nord de la Turquie, près du
port de Sinop.
La Turquie affirme vouloir construire trois
centrales nucléaires d'une capacité totale d'environ 5.000
megawatts et devant être opérationnelles en 2012 pour pallier
d'éventuelles pénuries d'énergie et réduire
sa dépendance énergétique.
Le ministre a affirmé que trois milliards
de livres turques (2,5 milliards de dollars, 1,7 milliard €) seraient
par ailleurs alloués à la construction d'un centre d'études
nucléaires à Sinop.
Le Parlement a voté en novembre une
loi autorisant le ministre de l'Energie à lancer et à conclure
des appels d'offres pour la construction de centrales nucléaires
ainsi qu'à décider de leur capacité et du lieu de
leur implantation.
Elle prévoit qu'en cas d'absence d'offres
émanant du secteur privé, des institutions publiques peuvent
prendre en charge la construction des centrales.
(©AFP / 12 février 2008) |
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Plusieurs articles dans le journal
Les Echos-17
janvier:
Abu Dhabi: le nucléaire civil au coeur de
la diplomatie de Nicolas Sarkozy
Le nucléaire civil au coeur de la diplomatie
de Nicolas Sarkozy. Sa tournée par la signature d'un important contrat
dans le nucléaire civil à Abu Dhabi. A l'installation à
terme d'une filière complète de nucléaire civil à
Abu Dhabi. De placer le nucléaire civil au coeur de sa diplomatie
proche-orientale. Le Traité international de non-prolifération
nucléaire (TPI)|de nucléaire civil. La fourniture de nucléaire
civil à un pays du Golfe
Sûreté nucléaire: le casse-tête lituanien
Sûreté nucléaire. En 1978
par l'Union soviétique pour abriter les travailleurs chargés
d'édifier et d'exploiter la centrale nucléaire d'Ignalina,
Visaginas. Un réacteur nucléaire par million d'habitants.
Michel Chouha, chargé de mission à l'Institut de radioprotection
et de sûreté nucléaire (IRSN)|l'arrêt de mort
de l'industrie nucléaire.
Pékin prêt à aider New Delhi sur le nucléaire
civil
Pékin prêt à aider New
Delhi sur le nucléaire civil. Son soutien à New Delhi sur
la route du développement de la technologie nucléaire civile.
Les questions nucléaires|ban du groupe des fournisseurs de nucléaire.
La normalisation de son statut, en négociant notamment un accord
nucléaire avec les Etats-Unis |
L'Autorité de sûreté nucléaire estime
que les pays acheteurs doivent donner un cadre juridique à la sûreté
L'Autorité de sûreté nucléaire.
La vente de centrales nucléaires par la France à la Libye,
à l'Algérie ou aux Emirats arabes unis. Les perspectives
de vente de centrales nucléaires par la France à des pays
émergents comme la Libye, l'Algérie ou les Emirats arabes
unis. Mardi l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN).
La mise en place et le fonctionnement d'installations nucléaires.
En présentant ses voeux à la presse le président du
gendarme français du nucléaire, André-Claude Lacoste.
Institutions assurant le contrôle du nucléaire (Autorité
de sûreté. Une centrale nucléaire. La signature d'un
accord de coopération entre la France et les Emirats arabes unis
(EAU) pour l'utilisation pacifique du nucléaire, et la perspective
de vendre à ce pays deux réacteurs de troisième génération
EPR. n ce qui concerne la Libye, l'accord de "coopération pour le
développement des utilisations pacifiques de l'énergie nucléaire"
http://www.asn.fr
Après les Emirats, Suez n'exclut pas de coopérer
encore avec Total
Une alliance avec Areva et Total pour un projet
nucléaire aux Emirats arabes unis. Marques d'intérêt
pour le nucléaire, notre coopération avec Total. e groupe
nucléaire Areva et Suez. Lundi la création d'un partenariat
inédit avec le groupe pétrolier Total, pour vendre deux réacteurs
nucléaires EPR aux Emirats arabes unis. |
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Baisse régulière du taux de
radioactivité en Polynésie française (http://www.lemonde.fr)
- Ce qui revient à avouer (enfin!...) qu'il y en avait et a encore!!!
(Ndw):
Reuters 10.01.08
APEETE (Reuters) - Depuis l'arrêt des essais nucléaires
aériens en Polynésie française, en 1974, le niveau
de radioactivité ambiante n'a cessé de chuter, selon le rapport
annuel de l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire
(IRSN). (donc, il était arrivé où?!... Ndw)
"Pour l'année 2006, les résultats
s'inscrivent dans la continuité d'une diminution régulière
des niveaux de radioactivité", peut-on lire dans ce document
dévoilé jeudi par la presse polynésienne.
L'IRSN effectue chaque année depuis
35 ans des mesures à partir de prélèvements d'air,
d'eau, de sol et de produits alimentaires dans sept îles des cinq
archipels de la Polynésie française, qui couvre une surface
vaste comme l'Europe. |
Selon l'institut, aucun échantillon
prélevé en 2006 ne présentait de traces de radioactivité
susceptibles d'être dangereuses pour la santé de la population.
Les militants anti-nucléaires ont salué
ces résultats tout en demeurant critiques vis-à-vis de l'Etat
français.
Pour Bruno Barillot, chargé de mission
auprès du Coscen (Comité de suivi sur les conséquences
des essais nucléaires, qui relève du gouvernement polynésien),
"la radioactivité due aux essais nucléaires ne se mesure
plus dans les fruits et les poissons, mais dans la santé des personnes
qui ont travaillé sur les sites ou qui ont vécu en Polynésie
principalement pendant la période des essais aériens",
de 1966 à 1974.
Bruno Barillot regrette par ailleurs que l'IRSN
ne puisse pas travailler à Moruroa et Fangataufa, où
ont eu lieu les expérimentations nucléaires. Ces atolls sont
placés sous la surveillance d'un laboratoire mixte rattaché
au ministère de la Défense. |
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Autres sources:
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GE équipe(ra) les futurs
sous-marins nucléaires français (http://www.enerzine.com):
(source: CP - GE)
General Electric (GE Oil & Gas) a été
sélectionné par DCNS pour fournir les turboalternateurs et
turbines de propulsion de la nouvelle flotte de six sous-marins nucléaires
destinés à la Marine Nationale, pour une mise en service
prévue entre 2016 et 2027.
DCNS, leader européen des systèmes
navals de défense, a récemment attribué à GE
Oil & Gas un contrat pour la fourniture de deux turbo-alternateurs
et une turbine de propulsion pour le Suffren, premier des six sous-marins
commandé en tranche ferme ainsi que chacun des cinq autres bâtiments
commandés en tranches optionnelles.
Les turbo-alternateurs-redresseurs fourniront
l'alimentation électrique à la propulsion et aux systèmes
auxiliaires. La turbine de propulsion GE, entraînant l'hélice,
fournira la puissance mécanique nécessaire au sous-marin
à grande vitesse. Ces turbines à condensation sont fortement
manufacturées pour répondre aux exigences spécifiques
de la Marine Nationale, de très faibles niveaux de bruit et de vibrations,
pour donner au sous-marin les capacités furtives et de vitesse maximales,
explique GE dans un communiqué.
Jeumont Electric, partenaire de GE dans le
projet, fournira l'alternateur–redresseur des turbo-alternateurs. |
Le matériel de GE est fabriqué
dans son usine française de turbomachines située au Creusot,
en Bourgogne. Le site dispose d'une chambre anéchoïque qui
contrôle les niveaux sonores des équipements avant livraison.
GE fournira également une assistance lors de l'installation de ses
équipements et des essais sur site, jusqu'à la mise en service
de chaque navire.
Le premier lot de trois turbines sera livré
par GE entre octobre 2010 et février 2011.
"GE est fournisseur de longue date de turboalternateurs
et turbines de propulsion des flottes française de sous-marins ,
sans oublier les turbo-alternateurs du porte-avions Charles de Gaulle,"
a indiqué Corinne de Bilbao, Directeur Commercial de la Région
Europe de l'Ouest & Centrale chez GE Oil & Gas. "Nous sommes
fiers d'apporter notre soutien aux objectifs de sécurité
nationale de la France qui contribueront également à renforcer
le développement économique local en France et en Europe."
DCNS est maître d'œuvre d'ensemble du
projet des six sous-marins Barracuda et partenaire d'Areva TA maître
d'œuvre de la chaufferie nucléaire embarquée. L'admission
en service actif du Suffren, premier de la série mise en service,
est prévue en 2016. |
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Fin des livraisons russes d'uranium à
la centrale nucléaire iranienne de Bushehr (http://www.french.xinhuanet.com
- 2008-01-29 07:01:13):
MOSCOU, 28 janvier
(Xinhua) -- Lundi, la Russie a achevé la livraison d'uranium
à la première centrale nucléaire iranienne, a rapporté
lundi l'agence de presse Itar-Tass.
La huitième et dernière livraison
de carburant nucléaire russe, nécessaire à la première
phase de l'opération de la centrale nucléaire de Bushehr,
a été effectuée sur le site de construction, a déclaré
Itar-Tass citant l'Organisation d'énergie atomique d'Iran
(AEOI).
Jusqu'à présent, tout le carburant
et l'équipement nécessaire à la première phase
ont été livrés à l'Iran, a fait savoir l'AEOI
dans un communiqué.
Les officiels iraniens ont salué les
livraisons et ont déclaré qu'elles contribueront "au renforcement
des relations stratégiques entre l'Iran et la Russie," mais
ont également mis en garde qu'ils ne changeront pas d'avis et enrichiront
eux-même l'uranium.
D'après Sergei Kirienko, chef de l'Agence
fédérale russe pour l'énergie nucléaire (Rosatom),
la préparation pour le chargement du carburant nucléaire
dans le réacteur commencera en juillet ou en août. |
Plus tôt, l'Iran avait annoncé
que la centrale nucléaire de Bushehr commencerait à fonctionner
à l'été 2008 et produirait la moitié des 1.000
mégawatts potentiels d'électricité.
L'Iran a reçu la première livraison
de carburant nucléaire de la part de la Russie le 17 décembre
après des mois de disputes entre les deux pays, apparemment sur
des retards de paiements pour le réacteur.
Les Etats-Unis et leurs alliés soupçonnent
l'Iran de vouloir utiliser la centrale nucléaire comme prétexte
pour développer des armes atomiques et ont demandé à
la Russie de suspendre le projet de Bushehr.
Le ministère russe des Affaires étrangères
a cependant promis que le carburant sera sous contrôle de l'Agence
internationale de l'énergie atomique (AIEA) et a déclaré:
"Tout le carburant qui sera livré sera sous le contrôle
et les garanties de l'AIEA pendant tout le temps passé sur le territoire
iranien." |
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