ENERG...ETHIQUE & CONTROVERSES NUCLEAIRES !
MYTHES NUCLEAIRES
DESTRUCTION ATOMIQUE 2000 AV. J.C.

Source STARGATE magazine N°2 – février-mars 2004
Par Valentina Ivana Chirappa
Même si ce genre de document semble plutôt à ranger dans "l'ufologie", RESOSOL se doit de rechercher des chiffres et autres documents fiables au sujet de la radioactivité... naturelle de certaines régions de l'Inde, fait non contesté... A suivre
DES RECHERCHES RÉCENTES DANS LA VALLÉE DE L’INDUS PROUVERAIENT LES THESES SOUTENUES PAR DAVID DAVENPORT, RELATIVES A UNE EXPLOSION NUCLEAIRE QUI A ANEANTI LES CHOSES ET LES ETRES VIVANTS DANS UN RAYON DE PLUSIEURS KILOMETRES. LES TEXTES ANTIQUES DE LA TRADITION INDIENNE EVOQUERAIENT CES EVENEMENTS DEPUIS TOUJOURS.

    Connaissant plusieurs langues dès son jeune âge, David Davenport, originaire de l'Etat indien du Bihâr mais né de parents anglais, développa une grande compétence dans le domaine de l’archéologie, ainsi que dans celui des traditions populaires de l'Inde. Cela le conduisit à l'approfondissement des textes sanscrits antiques et hindous qu'il traduisit en anglais. Les poèmes épiques appartenant à notre culture scolaire comme l'Odyssée et l'Iliade, avec leurs contenus mythologiques, sont - d'après les études de Davenport - ceux-là mêmes qui ont été transmis dans les textes de Ramayana (qui conte la geste de Rama) ou du Mahabharata, aventures historiques des anciennes traditions indiennes.     Ces épisodes, qu'un occidental qualifierait d'absurdes et qu'il jugerait comme étant sans fondement, tels que les épisodes qui décrivent les Vimana (les vaisseaux volants grâce auxquels les dieux de l'antique culture orientale arrivèrent sur la Terre), sont considérés en Inde comme une réalité documentée et non pas comme une création de la fantaisie poétique. Grâce à l'analyse des textes védiques, le chercheur anglais parvint à des conclusions incroyables ayant trait à l'existence, dans un passé lointain, de vaisseaux spatiaux et d'armes nucléaires sophistiquées et supérieures au point de vue technologique, même par rapport aux connaissances actuelles, et dont on fournit dans les manuscrits la description technique détaillée.


Le schéma technique duShacuma Vimana,
d’après les données tirées du livre sanscrit Vymana Shastra

LES LIEUX ET LE TEMPS

    Grâce à la description géographique circonstanciée contenue dans le Ramayana et se rapportant aux lieux déjà mentionnés, David a établi une sorte de corrélation entre les noms védiques des sites en question et ceux existant à notre époque. De plus, utilisant la datation astronomique - basée sur la correspondance entre les événements les plus importants et la position des astres à ce moment précis (signalée dans les textes) - il a été en mesure d'établir avec une certaine précision leur chronologie.
    La localisation des événements a conduit à assimiler la ville de Lanka (décrite par le Ramayana) non pas à Ceylan - à laquelle elle a toujours été associée - mais à la ville morte dont le nom actuel est MohenjoDaro. A l'appui d'une telle reconstitution, il suffit de songer qu'encore aujourd'hui au Pakistan, dans la région de Kalât, on parle une langue d'origine dravidienne connue sous le nom de Mohenjo-Dara Lanka.
    Lors de l'interview réalisée par Alberto Lori en 1977, Davenport explique la véritable signification du terme Mohenjo-Daro. "En langue Sindhi, ça veut dire lieu de la mort et c'est le nom qui a été donné à la ville par les terrassiers en 1921. A Mohenjo-Daro il y a une hauteur appelée par les archéologues ‘le Stupa’ mais il s 'agit plutôt d'une Ziggourat d'origine mésopotamienne sur laquelle, vers l'an 300 av. J.-C., un Stupa bouddhiste avait été construit, mais qui n'a rien à voir avec la culture, beaucoup plus antique, de la vallée de l’Indus. 
Cette île-zigourrat avait été construite pour la classe sacerdotale au beau milieu de l'Indus, et elle s'étendait sur un kilomètre de long par un demi-kilomètre de large, au centre de Mohenjo-Daro. A l’époque védique, Lanka était connue par les Aryens sous le nom de Suvamaka-Lanka, la Ville d'Or et cela pour deux raisons: la couleur des briques utilisées et parce qu’elle était une ville très développée tant au point de vue politique que commercial.
    Lanka, comme nous le savons, avait été attaquée et conquise par les forces de Rama, mais la bataille, bien que sanglante, n'avait pas signifié la fin définitive de la ville. Dashagriva, le tyran de Lanka, appartenait à la dynastie Ravana, une race qui avait régné pendant 600 ans sur les Rakshasas. Il avait presque quarante-cinq ans et il possédait - pour l'avoir volé au roi légitime Dhanado, qu'il tua ensuite - un Pushpaka Vimana, un vaisseau spatial qu’il gardait dans la cour du palais. La cour existe encore aujourd'hui à Mohenjo-Daro. Une fois destitué l'usurpateur, Rama le remplaça sur le trône par l'un de ses disciples, Bibishamina, le frère cadet de Dashagriva. Par la suite, à bord du Pushpaka Vimana, il laissa Lanka pour se diriger en vol vers Ayodhaya,  la ville de son père Dasaratha".

LES HYPOTHÈSES

    Grâce à ses études, Davenport vérifia donc que Lanka ne fut pas détruite par Rama mais par d'autres rois aryens vers 1985 av. J.-C.. L'exposition détaillée des effets dérivant de cette dévastation des choses et des êtres vivants le conduisit à identifier la cause de la ruine à une explosion atomique. Le malheur aurait été causé par le désaccord existant entre les habitants de Lanka et d'Hariyupia d'une part, et la race des Aryens d'autre part. Les deux villes, en effet, contrôlaient, de par leur emplacement, le trafic intéressant la Mésopotamie, en faisant obstacle en ce sens au commerce des Aryens avec l'Occident. Ces derniers, après avoir tenté à six reprises d’anéantir Lanka, réussirent la septième fois à atteindre leur but grâce à l'intervention d'intelligences extraterrestres extrêmement évoluées et en possession d'un équipement nucléaire, comme nous porte à le croire la description faite dans les textes védiques.
    Davenport soutient en outre que quarante-quatre squelettes furent également retrouvés sur les lieux. Analysés par une équipe de l'Université de Calcutta, ils ne portaient pas les signes d'une lutte conventionnelle, mais des traces de carbonisation et de calcination inexplicables. Apparemment, en somme, c'est comme si quelque chose d'inattendu avait surpris ces hommes, exactement comme cela se passe dans le cas d'une onde de choc soudaine.
    En ce qui concerne les résidus matériels effectivement trouvés par Davenport à Mohenjo-Daro, celui-ci affirme:
    «A Mohenjo-Daro il y a toutes les preuves qu'il faut pour démontrer que là-bas une explosion du type atomique, analogue à celles d'Hiroshima et Nagasaki a réellement eu lieu. Tout d'abord, il existe dons la zone un épicentre précis. Tout ce qui se trouve dans son périmètre - vases, amphores, bracelets, bronze, pierres - paraît fondu. Pour parvenir à ce point de fusion, d'après les analyses des pièces qui ont été effectuées, à ma demande, par les experts du CNR à l'Université de Rome, les objets auraient dû être soumis à des températures supérieures à 1500 degrés, suivies d'un refroidissement très rapide. A ma connaissance, il n'existe aucun phénomène naturel en mesure de provoquer des effets de ce genre: ni les éruptions volcaniques - il n'y a pas de volcans dons la zone - ni les météorites - aucun fragment de météorite n'a été trouvé - ni les tremblements de terre, ni les inondations. Dans la bande immédiatement à proximité de l'épicentre s'étend une zone dite de désintégration, où les maisons abattues apparaissent comme écrasées au sol par une pression énorme. Dans la zone suivante, le terrain semble s'élever graduellement à un niveau allant de soixante à cent mètres de haut, jusqu'à l'extrême périphérie. C'est comme si l'onde de choc de l'explosion, au fur et à mesure qu'elle se propageait tout autour avait perdu de sa force. Les briques des édifices qui donnent sur l'épicentre apparaissent fondues d'un côté mais non de l'autre»


Image tirée d'un documentaire et représentant un passage du Mahabharata
qui décrit une bataille entre les hommes et les dieux

LES INSTALLATIONS RADIOACTIVES

    Les hypothèses soutenues par Davenport, pour incroyables qu'elles soient, paraissent confirmées par une nouvelle extraite du World Island Review de janvier 1992 et diffusée par Bryant Staverly. L'information a trait à une couche épaisse de cendres radioactives qui recouvre, à Rajasthan (Inde), une zone de trois milles carrés, située à dix milles à l'est de Jodhpur. Les savants mènent des enquêtes sur ce site, où une agglomération aurait été construite. On avait remarqué depuis longtemps dans cette zone une augmentation du nombre d'enfants nés avec des malformations et des cas de cancer. Les niveaux des radiations sont tellement élevés que les autorités indiennes ont décidé d'interdire la présence humaine dans la zone en ques tion.
    Les experts y ont découvert une ville antique avec les traces évidentes d'une explosion atomique, survenue il y a plusieurs millénaires (8.000-12.000 ans), qui détruisit la plupart des constructions et tua environ un demi-million de personnes. 
Un chercheur a émis l'hypothèse que l'engin nucléaire pouvait avoir une puissance destructrice égale à deux fois celui lancé sur le Japon en 1945.
    Le Mahabharata - dont certaines parties remontent à 7.000 ans av. J.-C. environ - décrit clairement une catastrophe nucléaire qui bouleversa le continent. "Un projectile unique, chargé de tout le pouvoir de l'Univers... Une colonne incandescente de fumée et de flammes, brillante comme 10.000 soleils se leva dans toute sa splendeur... c'était une arme inconnue, un tonnerre d'acier, un gigantesque messager de mort qui réduisit en cendres une race entière. Les corps étaient méconnaissables. Les ongles et les cheveux disparurent, la vaisselle se brisa sans cause apparente et leurs oiseaux devinrent blancs. Peu après, toute la nourriture était contaminée. Pour échapper au feu, les soldats se jetèrent dans le fleuve".

LES TEMOIGNAGES HISTORIQUES ET ARCHÉOLOGIQUES

    L'historien Kisari Mohan Ganguli affirme que les écritures sacrées indiennes sont pleines de descriptions de ce genre, qui rappellent l'expérience de l'explosion atomique d'Hiroshima et Nagasaki.
    Il fait mention de missiles et d'armes mortelles. Dans la Drona Parva - une section du Mahabharata - on décrit une bataille antique. "On parle d'un combat où une arme explosive puissante détruisit des armées entières, causant des amas informes de guerriers, d'éléphants et d'armes, emportés comme des feuilles mortes", dit Ganguli. "Au lieu du champignon atomique classique, le poème décrit une explosion perpendiculaire avec des nuages de fumée qui s'ouvrent, l'un après l'autre, pour former un gigantesque parapluie. 
On fait également allusion à la contamination des aliments et à la chute soudaine des cheveux". L'archéologue Francis Taylor affirme que des gravures, trouvées près des temples et maintenant en sa possession, suggèrent que la population priait afin d'être épargnée par la "grande lumière" qui vint détruire la ville dans le passé. Il dit: «Il est bouleversant de penser que certaines civilisations antiques connaissaient la technologie atomique avant nous. Les cendres radioactives rendent crédibles les antiques traditions indiennes écrites, qui parlent d'une guerre nucléaire