Mon "environnement"
Formations professionnelle, écologiste, artistique...
1) "mains" => horlogerie => "rouages
célestes" => physique du vide et du froid (CNAM)...
"EN CE TEMPS LÀ" (mais comme on va le voir à la fin, ce temps a fini par me rattraper...), des
"tests d'orientation"... bâclés (à mon humble avis et rétrospectivement!) à la fin du collège m'avaient entraîné à passer
le concours d'entrée au lycée technique Diderot de
Paris, alors que j'étais très bon en langues, allez savoir pourquoi!
Sans aucune idée professionnelle, j'avais donc dû être initié aux
secrets de la
micromécanique, avec déjà parfois des moment de doute, quoique un peu
égayés par l'horlogerie. Mais curieusement, avec mon
diplôme en poche, j'ai été dirigé (une nouvelle fois! Décidément, je
n'avais toujours pas d'idées...) vers la technique
supérieure du... froid (y avait-il déjà un appel secret
vers la mécanique céleste et ses espaces sidéraux?).
Mais pendant puis après cette première formation professionnelle, j'ai dans le même temps suivi
les cours du CNAM (Conservatoire
National des Arts et Métiers) de Paris où j'ai acquis
les certificats de physique du froid puis du vide et pour finir "Maths élém"...
Après quelques années passées dans un laboratoire
de recherche appliquée à l'Air Liquide, son directeur
m'ayant demandé de le suivre dans une de ses filiales j'ai installé
des laboratoires scientifiques et médicaux,
particulièrement en Europe de l'Est, mais aussi en Allemagne, en Suède, etc.
Et puis, au moment même où je venais d'obtenir
mon visa pour me spécialiser pour l'Egypte puis le monde arabe, j'ai
finalement postulé au CERN
à Genève,
où j'ai été admis sur concours européen (il y a avait 13 pays membres à
l'époque - 22 en 2016 -, donc 13 candidats) en 1974 (physique du froid
et du
vide, puis physique des accélérateurs, puis Web, puis...
énergie solaire!) et où je suis resté jusqu'à
la fin 2004, année où le temps m'a rattrapé le jour où j'ai décidé d'en
donner ma démission après avoir appris qu'on allait désormais y faire
des expériences concernant l'ENERGIE nucléaire et non plus
fondamentale*** (pour info, "nucléaire" venait de "noyau" de l'atome) et
conséquement après discussions épiques (et parfois plus...) avec Georges
Charpak et un directeur de la recherche du CERN !
Car, moins directement professionnellement mais plus... passionnément,
et après un 1er stage "Vie intérieure et non-violence au quotidien")
j'avais suivi une formation à la problématique écologique
dans son sens le plus large (voir "Mots-clés"),
d'abord au CUN du Larzac (voir un document du site de la région Poitou-Charentes), suivie d'une
approche controverses soldées par un dernier
diplôme
(Energétique) au CUEPE
- Université de Genève.
***
Un groupe avait été formé par Carlo Rubbia (prix Nobel 1984 - je faisais partie de l'équipe... - et directeur du CERN
entre '89 et '93) afin de proposer des solutions nouvelles en matière
d'énergie nucléaire; je
précise ironiquement mais... scientifiquement, que cette technique ne
consiste... "fondamentalement " qu'en une (certes gigantesque)
cocotte-minute pour "simplement" produire de la vapeur avec,
ironiquement mais toujours scientifiquement, comme résultat que de n'en
pouvoir exploiter que 30% sous forme d'électricité - cherchez l'erreur
- en comparant avec TOUTES les autres formes de production (pardon:
transformation, car on ne peut pas en "produire", scientifiquement), énergies renouvelables y compris!!!
2) "retour aux sources" des...
rouages => le soleil!
Lors de ces études, j'ai été
sensibilisé, puis quasiment hypnotisé par cette étoile
qui a donné le nom du système astronomique dont nous faisons partie -
immense "rouage interplanétaire" - et qui prodigue et continuera
infiniment (à l'échelle de l'espèce humaine) à prodiguer
abondammant à la Terre - à partir de son énergie nucléaire
(!) si parfaitement confinée (suivez mon regard*...) - toutes énergies
"douces" d'une infinie variété: chaleur, vent, biomasse,
vagues, etc., toutes sans danger, en particulier si on la compare aux dégâts (du véritable lobby...) de l'électricité
nucléaire terrestre (*)!
D'où la naissance du site web du SOLAR
Club (dont j'ai été président de 1998 à
2004 mais qui n'est hélas toujours pas remis à jour par mon remplaçant au Cern...), site devenu celui des ENR's
du site final indiqué au § 3) avec trois pôles principaux:
énergies
renouvelables, controverses et information nucléaire. Dans ce
dernier domaine, il s'en est suivi également la responsabilité
de webmaistre de la Gazette
Nucléaire (activité que je poursuis toujours, en bénévole et à rythme beaucoup moins soutenu). Enfin - dans la suite de la lutte
contre Superphénix - une dernière rencontre déterminante
avant mon départ de la région Rhône-Alpes et mon
retour vers Paris: celle des membres de l'Appel de Genève,
initiateurs - entre autres - de la revue universitaire SEBES
(Stratégies Energétiques, Biosphère et Société
- tout un programme!), pour laquelle je suis également devenu webmaistre.
A noter que tous ces sites sont désormais regroupés sur la
page du Réseau sol(ID)aire des énergies ci-dessous...
3) du rouage au réseau...
Peu à peu, un réseau européen s'est créé dont la première mise en évidence
a été son site web, le Réseau
sol(ID)aire des énergies !
Finalement, une résolution
a été prise en 2008, entraînant le nouveau
site qui sera probablement mon ultime site "alternatif"...
Ce fut donc un long mûrissement, plus ou moins inconscient au début (ce
que je voulais dire par le rattrapage du temps),
puis de plus en plus actif et militant, après les trente années
"rhône-alpiennes", largement ponctuées de publications
et conférences diverses (voir aussi la page CUN
ci-dessus
où des documents plus "éthiques" sont disponibles), qui m'a amené à
réaliser que la technique mène à tout... à condition d'en sortir!
Le reste est encore à écrire, dans tous
les sens du mot, car peinture, nouvelle(s), haïkus et enfin surtout poésie ont désormais pris de plus en plus d'importance dans ma vie, voir la page plus particulièrement dédiée... (en
attendant de les partager plus intimement: STOP, jardin secret...)
...
Début d'installation dans les années 1990, mise à jour 2016