Nous vous présentons un dossier de
l'ACRO sur la pollution autour du site Manche. Après un mauvais
départ (comme d' habitude) les mesures de l'ACRO ont été
reconnues. Tous les labos engagés ont trouvé la même
chose, sauf le SCPRl qui a refusé de participer à l'intercomparaison.
Quand on se prétend le meilleur on ne s'abaisse même pas à
faire des mesures. Si le SCPRl s'imagine que le mépris est la réponse
aux imerrogations des populations, on peut lui dire qu'il se trompe.
La commission de la Hague a élevé
une protestation car elle tenait à cette intercomparaison . Le bilan
qu'elle présente ne peut pas être fait si il n'y a pas cette
intercomparaison.
En attendant soutenez le laboratoire indépendant
ACRO en lui commandant des mesures si vous êtes dans le coin Calvados.
Il y a un an, au printemps 91,
l'ACRO alertait les élus concernés et l'opinion publique
à propos d'une élévation anormale des taux de Césium
dans les sédiments de la Ste-Hélène, une petite rivière
qui prend sa source sur le site nucléaire de la HAGUE. Le Chargé
"Relations Publiques" de la COGEMA de l'époque n'hésita pas
à suggérer que ''l'ACRO cherchait à se faire un
coup de pub". L'enquête menée durant l'été
par la Commission d'Information de la HAGUE aboutit à une conclusion
sans faille: l'ACRO avait raison! Il y a bien eu, dans les sédiments
de la rivière, à notre point de contrôle, une élévation
par un facteur 10 de la pollution en Césium. De plus une comparaison
inter-laboratoires a été organisée, à celle
occasion, par la Commission HAGUE et l'Institut Universitaire de CHERBOURG.
INTECHMER, l'ACRO, le SPR-COGEMA et le LDA (Laboratoire départemental
d'Analyse de la Manche) ont accepté d'y participer. Le SCPRI, quant
à lui, n'a même pas daigné répondre. Les résultats
des mesures effectuées par ces trois laboratoires sont d'une concordance
remarquable. C'est là la réponse que l'ACRO se devait d'apporter
à tous ceux qui, cherchant à éviter le débat
de fond sur les problèmes de l'environnement, mettent en cause les
compétences de notre laboratoire.
A - L'histoire de la pollution de la Ste-Hélène
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L'activité en tritium dans l'eau est certainement l'élément le plus marquant de cette pollution. La figure 1 retrace les valeurs des moyennes annuelles de ces 14 dernières années. Les valeurs mensuelles varient entre plusieurs centaines et plusieurs dizaines de milliers de Bq/l, avec une pointe record de 52.000 Bq/l en octobre 1982. A titre de référence, il est bon de rappeler que les eaux de surface continentales (en dehors des sites nucléaires présentent des teneurs en tritium inférieures à 1 Bq/l!) l'ANDRA, dans une note rédigée en septembre 1983, estime à partir de ces mesures que l'activité totale annuelle moyenne retrouvée dans le ruisseau de la Ste-Hélène est de 1.850 GBq/an (50 Ci/an). Pour une rivière où légalement on ne devrait rien trouver, ça fait quand même beaucoup! * Le tritium est issu de la fission (ternaire) de l'Uranium 235 au sein des réacteurs nucléaires. Il est rejeté en totalité dans l'environnement, tout particulièrement au niveau des installations de retraitement. * GBq = GigaBequerel = 1 milliard de désintégrations par seconde. La pollution radioactive n'est d'ailleurs pas la seule influence des installations nucléaires sur la Ste-Hélène: en 1988, une pollution chimique a provoqué la mort de nombreuses anguilles (voir Acronique n° 2). Activité moyenne annuelle en tritium de l'eau de la Ste Hélène (en Bq/l) mesures SCPRI A-2: SES SÉDIMENTS SONT CONTAMINÉS
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Néanmoins, les conditions
étant précisées, ceci n'empêche nullement: a)
de comparer les résultats de ces divers laboratoires et a fortiori,
b) d'interpréter un suivi de valeurs obtenues par un laboratoire
donné, sur un même point de prélèvement, respectant
toujours un protocole identique.
Ce suivi, mené par l'ACRO depuis octobre 1987 jusqu'à ce jour, est présenté dans le tableau 1: Tableau 1
Remarque: toutes les mesures sont exprimées ici pour des sédiments secs non tamisés. Aussi les mesures du 27/05/91, réalisés sur des sédiments tamisés dans le cadre du protocole d'intercomparaison ont été transformées en fonction de l'analyse granulométrique établie par INTECHMER dans le tableau ci-dessus afin d'y présenter une expression homogène des résultats et donc de permettre des comparaisons dans le temps. Figure 2
Ces résultats d'analyse traduisent une contamination significative en divers radionucléïdes caractéristiques, issus du traitement. La pollution en Césium 137 est particulièrement forte. L'activité en Césium 134 apparaît grossièrement corrélée avec celle du Césium 137, mais ce n'est pas le cas pour le Rhodium 106 et le Cobalt 60; en effet la contamination des sédiments en Rh 106 n'est observée que durant l'année 1990 (avec parallèlement des valeurs plus élevées en Co 60) alors que les activités en Césiums de ces mêmes sédiments sont les plus "faibles". Cette discordance entre les Césiums, d'un côté, et le Rh 106 et le Co 60, de l'autre, pourrait indiquer que le point source de cette pollution a varié au cours du temps. (suite)
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Parmi ces produits de fission, les teneurs en Césium 137 sont de loin les plus élevées mais en outre présentent d'importantes fluctuations au cours du temps (figure 2). Les différents laboratoires trouvent en général des valeurs de l'ordre de 100 à 300 Bq/kg à des points de prélèvements différents. C'est également notre cas pour les prélèvements de 1989-1990, mais au printemps 88 et en début d'année 91, nous observons des valeurs 10 fois plus fortes au même point de prélèvement. Il est à noter qu'au printemps 87, le L.D.A. indique des valeurs 4 fois plus élevées que pour le reste de cette année-là. Il faut dire que ces résultats nous ont tout d'abord surpris: nous nous attendions en effet, à cette époque de forte pluviosité, à des valeurs diminuées par phénomène de lessivage et dilution. B - L'occasion pour un essai inter-laboratoires
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Les tableaux IIa, IIb et IIc ci-après traduisent
comparativement les résultats d'analyse de chaque laboratoire (exprimés
en Bq/kg de sédiments secs tamisés à 200 µm).
Tableau II a
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RESULTATS DE L'INTERCOMPARAISON MESURE DU CESIUM 134.
RESULTATS DE LïNTERCOMPARAISON MESURE DU COBALT 60
Sur le plan analytique, tout d'abord, l'ACRO
et le SPR-COGEMA ont détecté les mêmes isotopes radioactifs
artificiels, à savoir le Césium 137, le Césium 134
et le Cobalt 60.
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C - Y a-t-il une augmentation anormale de la pollution
radioactive de la Ste-Hélène?
Au-delà de l'expérience d'intercomparaison, les résultats obtenus sont fort intéressants quant au débat de fond. Rappelons les faits. Le ruisseau de la Ste-Hélène a été fortement contaminé dans le passé entre autres par les rejets des eaux de drainage du Centre de stockage des déchets (aujourd'hui CSM). Tout ceci dans la plus parfaite illégalité, soulignons-le, car il n'y a jamais eu "d'autorisation de rejets" dans ce cours d'eau. Cette situation n'est pas imputable seulement à l'ANDRA. Rappelons en effet que la gestion de ce site était autrefois confiée à INFRATOME, une société à statut privé, et qu'à cette époque la population n'avait strictement aucun droit de regard sur ce qui se tramait à l'intérieur du site. L'ANDRA a poursuivi cette pratique jusqu'en 1987, date à laquelle ces effluents sont détournés vers COGEMA qui les évacue en mer par son propre réseau. Ceci nous a été exposé par M. NORAZ, directeur du CSM, lorsque nous l'avons rencontré en avril 91. Il n'y aurait donc plus aucun rejet dans la Ste-Hélène ... Nous ne mettons pas en doute la parole de M. NORAZ, ce d'autant plus que la contamination en tritium a nettement diminué en 88 et 90. Néanmoins cette pollution, même réduite, se poursuit encore aujourd'hui et pour des valeurs non négligeables de l'ordre de plusieurs centaines de Bq/l. Concernant les sédiments nous devrions donc voir cette contamination en produits de fission (et tout particulièrement en Césium) diminuer progressivement au cours du temps depuis 88. Mais au début de l'année 91, l'ACRO observe une augmentation par un facteur 10 de l'activité en Césium dans ces sédiments. Comment l'expliquer? Les discussions au sein du groupe de travail de la Commission HAGUE ont souligné la difficulté d'interprétation de tels résultats: les taux mesurés peuvent varier suivant la manière d'effectuer le prélèvement, en fonction du point de prélèvement, selon la nature et la granulométrie du matériau prélevé, etc. Tout ceci est profondément exact, et il est vrai que si nous pouvions mesurer les taux en Aluminium, puis exprimer le rapport Césium/Aluminium, nous aurions alors un renseignement important pour cette interprétation: l'Aluminium est un constituant de l'argile, la fraction la plus fine des sédiments, qui capte le plus fortement les radionucléïdes tels le Césium. Il n'en demeure pas moins qu'il subsiste une forte présomption pour ne pas dire une conviction, et qui repose sur des faits précis: 1°) il ne s'agit pas d'une mesure ponctuelle de notre laboratoire, mais d'une série de 5 mesures effectuées en l'espace de quelques mois et qui toutes démontrent cette augmentation de pollution par le Césium, 2°) ne sont exprimées dans le Tableau 1 que les mesures des prélèvements effectués par la même personne, au même endroit (point n°4, Annexe 1) et toujours suivant le même protocole de traitement, (suite)
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3°) à la suite des déclarations de l'ACRO, au printemps 91, le LDA a confirmé cette situation anormale, au mois de mai, en annonçant des taux de Césium 137 de 1.100 Bq/kg (point n°2, Annexe 1) et de 2.070 Bq/kg (point n°l, Annexe 1) sur des sédiments tamisés. (Cette dernière mesure est d'autant plus surprenante qu'il s'agit là du chemin d'accès au ruisseau et que le matériau est plutôt de nature sableuse provenant certainement d'un apport extérieur effectué lors des travaux de remodélisation de cette partie du site; des sables apparemment identiques aux points 9 et 10 (Annexe 1) ne présentent aucune trace de contamination...), 4°) tous les laboratoires ont confirmé, le 27 mai 91 lors de l'intercomparaison, les résultats obtenus par l'ACRO, avec une valeur moyenne de 4.000 Bq/kg de Césium 137 (point n°4, Annexe 1), 5°) à la Brasserie (point n°7, Annexe 1), à 1 km du déversoir, les mesures des différents laboratoires concordent sur une valeur moyenne de 1.350 Bq/kg de Césium 137. Cet endroit est le point de contrôle habituel du LDA et du SPR-COGEMA. Ces deux laboratoires trouvent généralement des valeurs de l'ordre de 100 à 150 Bq/kg. Il y a donc là encore, le 27 mai 91, une augmentation de la contamination en Césium par un facteur 10. D - Quelle est l'origine de cette pollution radioactive?
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2°) Le terrain de la COGEMA
serait contaminé ou souillé par des déchets non confinés.
Des restructurations ou des bouleversements de terrains auraient permis,
lors de fortes pluies, que cette pollution soit alors canalisée
vers le bassin d'orage.
En réalité le site a été modifié au point que le réseau hydrographique est aujourd'hui largement détruit. Les sources du Hauts-Marais n'existeraient pratiquement plus et c'est, de fait, essentiellement le bassin d'orage qui alimenterait la Ste-Hélène. La COGEMA peut, elle, répondre à une telle hypothèse car elle surveille en continu ce bassin d'orage depuis plus de deux ans. Les dernières déclarations de l'exploitant indiquent que l'activité de l'eau ne dépasse jamais 4 Bq/kg en radioéléments artificiels. Nous enregistrons, même si l'historique de la politique d'information sur le sile devrait nous inciter à plus de réserve. Cependant la mesure (1.100 Bq/kg) effectuée par le LDA, le 7 mai 91, juste au niveau du réservoir (point n°2, Annexe 1) va dans le sens d'une telle hypothèse. 3°) Nous venons de vivre plusieurs années de sécheresse. Il est possible de cette situation ait provoqué de multiplcs petites fracturations dans le sol, voire même en profondeur, constituant ainsi des chemins de migrations accélérées d'eau chargée de particules fines en suspension et qui concentrent très fortementies radionucléïdcs tels le Césium. Tout naturellement, étant donné la topographie du terrain, ces eaux migrent vers le ruisseau de la Ste- Hélène. Celle hypothèse nous semble plausible au regard de plusieurs éléments: - la mise en évidence par le LDA, le 14 mai 91, d'une forte contamination du chemin d'accès avec 2070 Bq/kg en Césium 137 au point n° 1 (Annexe 1), - l'existence de ruissellements sortant du sous-sol forme de petites résurgences au point n° 5 (Annexe 1). Des prélèvements ont été effectués par l'ACRO et lors de l'intercomparaison conduisant aux résultats indiqués dans le tableau suivant:
Il est à souligner que ce point de prélèvement se situe à un niveau très élevé (2 à 3 m au-dessus du niveau de l'eau) et que par conséquent il n'a pas pu être pollué par la Ste-Hélène. Il s'agit là d'un mélange de sable et de terre végétale. On ne devrait donc pas y trouver plus que le maximum que l'on trouve dans la terre surfacique de la région, soit 20 à 30 Bq/kg. (suite)
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suite:
Cette contamination semble donc provenir de ces infiltrations souterraines issues des sites COGEMA et/ou ANDRA. Il n'est pas impossible d'ailleurs que ce terme source varie au gré des fracturations, ce qui expliquerait la présence de Rhodium 106, en quantité non négligeable, dans les prélèvements de 1990 et son absence dans ceux de 1991. En définitive, quelque soit l'origine précise de celle augmentation de la pollution radioactive, ceci a tout lieu de nous inquiéter. Une partie du domaine public est contaminée en toute irrégularité, la radioactivité n'est plus confinée sur le site nucléaire. Si cette pollution provient du site COGEMA, c'est inquiétant car cela signifie que son terrain est contaminé ou que, plus préoccupant, des déchets y sont entassés de manière non confinée, donc non contrôlable. Si elle provient du site ANDRA, alors l'affaire est grave. Ce site reçoit en effet ses derniers "colis" et va entamer une période de confinement pour 3 siècles. Si ce Centre de stockage fuit dès le début, que se passera-t-il dans les décennies à venir? Quel héritage pour les générations futures? Pour notre part nous considérons que l'enquête doit être poursuivie afin de dépasser le stade des hypothèses et de rechercher d'éventuelles solutions. Ceci rentre tout à fait dans les prérogatives de la Commission HAGUE qui a pour mission non seulement d'informer, mais également de mener des investigations nécessaires afin que l'exploitant ne soit pas la seule source de celle information. Par ailleurs, pour une information réellement plurielle, nous pensons que des laboratoires indépendants qui, comme le nôtre, bénéficient d'une réelle audience au sein de la population de notre région, devraient disposer d'un libre accès au site afin de pouvoir exercer pleinement leur rôle. Cela implique que la COGEMA et l'ANDRA veulent effectivement pratiquer la "transparence". Reconnaissons qu'à une occasion, la chose a été permise sur le site ANDRA. Enfin, avant de conclure provisoirement ce dossier "Ste Hélène", nous voulons souligner deux éléments. Avant tout, l'ACRO reconnaît qu'au cours de l'essai interlaboratoires la COGEMA a "joué correctement le jeu", sans y mettre aucune entrave et allant même jusqu'à fournir du matériel nécessaire. Nous en prenons acte. Mais à l'inverse, la COGEMA nous ayant porté publiquement préjudice en avril 91, mettant en doute nos mesures et sous-entendant que l'on voulait se faire "un coup de pub", nous demandons réparation en terme d'excuses également publiques. ACRO
Le 19 janvier 1992 p.31
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Ce point source a été découvert: il s'agit d'une ancienne canalisation située au sein de la double clôture du Centre de Retraitement. Celle canalisation, en fibrociment, véhiculait les eaux de drainage du Centre de Stockage (ANDRA) vers la Ste Hélène. Après l'abandon des rejets, en 1987, ce tuyau, particulièrement "poreux", est demeuré sur place, mais également la terre fortement contaminées qui l'entoure. Il y a donc reconnaissance implicite d'une pollution accidentelle du domaine public? Cette source de pollution, correspondant à des déchets actuellement non confinés, s'infiltre dans le sol, gravite naturellement vers la Ste-Hélène et resurgit aux environs du point n°5. Cela correspond donc largement à la 3e hypothèse évoquée précédemment, laquelle paraissait la plus plausible pour l'ACRO. COGEMA a annoncé qu'elle entreprendra des travaux pour reprendre celle canalisation, ôter et confiner la terre contaminée et enfin rétablir un nouveau réseau de drainage des eaux vers un point qui sera contrôlé. |
CALYPSO LOG
publication de l'équipe Cousteau participez à la pétition "Signons la vie" pour la défense des générations futures. Demandez des textes de pétition à Equipe Cousteau 233 rue du faubourg Saint Honoré 75405 Paris cedex 08 L'Equipe participe à l'évaluation des centrales Bulgares et nous vous Invitons à les rejoindre très nombreux. abonnement 80 F par an. INFO URANIUM publication du Réseau Uranium 7 rue de l'Auvergne 12000 Rodez tel: 65 42 20 07 Sommaire du N°54: - Bulletin Info mode d'emploi - Adhésion au réseau Uranium - Les mines d'Uranium en France - Déchets radioactifs - Page action-envlronnement - presse documentatio - Uranium:axction CRIIRAD - titres miniers Lisez cette revue très bien documentée sur les mines et les déchets. Elle complète nos Informations et a du mal à vivre. abonnement 70 F par an GOLFECH MAGAZINE publication de la commission locale d'information auprès de la centale de Golfech Secrétariat du CLI Hôtel du département BP783 82013 Montauban cedex N° de Décembre 1991: Golfech 1er Bilan Hors série n° 3, dossier: Les filtres à sable |
DAMOCLES
revue bimestrielle de réflexion et d'échanges sur la paix, les conflits et la sécurité nucléaire BP 1027 69201 LYON Cedex 01 tel: 78369303 N°10 janvier 1992: Guide des forces nucléaires françaises Hors série 1991 Les essais nucléaires français 1960-1988 (actualisé en 1991) cette revue est très bien documentée et donne d'excellents dossiers sur un sujet mal connu, les armements. N'hésitez pas à les consulter car ce problème nous concerne et souvent les interventions semblent difficiles par manque d'Informations abonnement l50 F par an pour la France - 180 F par an pour l'Europe ECOLOGIE-INFOS fondateurs Sylvie et Jean Luc Burgunder édité par Espace-Ecologie BP432 45204 Montargis Cedex - abonnement 320 F pour 22 N°publication tous les 15 jours Des articles de fond sur l'écologie. De la forêt au nucléaire en passant par les pommes qui font aussi parti de notre patrimoine. Vive la reinette croquante. Le CRI DU RAD N'oubliez pas de vous abonnez à la gazette de la CRIIRAD et surtout de les aider à maintenir leur laboratoire pour tout le Sud de la France. CRIIRAD - Le Cime, 471 av Victor Hugo 26000 Valence abonnement 150 F par an ACRO Pour les région Calvados, Manche, Nord: ACRO 18 rue Savorgnan de Brazza 14000 Caen Abonnez-vous pour avoir des nouvelles de votre région mais surtout faites faire des analyses pour que vive le labo! Abonnement 120 F par an p.32
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