Gazette Nucléaire 2006
N°227
Ce phénomène
d'hormesis a même conduit certains auteurs à suggérer
un effet bénéfique des faibles doses de rayonnements ionisants...
Gazette Nucléaire 2005
N°221
Ces réactions
peuvent aussi expliquer l'existence d'un phénomène d'hormesis
(effet d'un agent, physique ou chimique, qui provoque un effet à
forte dose et...
Gazette Nucléaire 1998
N°169
AUTORITES DE CONTROLE NUCLEAIRE
En effet
il a en charge le suivi de toutes les installations d'EDF, COGEMA, ...
vue (Pellerin en 1994 à propos du changement des normes et de l'Hormésis)...
Gazette Nucléaire 1991
N°109
L'effet
Tchernobyl risque, en effet, de pousser l'opinion publique occidentale
à ... de ce phénomène radioprotecteur (actuellement
appelé Hormésis)...
Autres documents:
* La
définition proposée par Southam et Erlich en 1943
est "Toute substance toxique utilisée à concentration
sub inhibitrice devient facteur de croissance pour n'importe quel organisme".
(en... pharmacologie!)
* 20
ans de conséquences de Tchernobyl: "A l’heure où l’on
dépense des milliards pour développer d’arrache-pied une
nouvelle génération d’armes nucléaires et que la phase
d’essais est proche, devons-nous nous intéresser à la catastrophe
de Tchernobyl ? Elle appartient au passé. Certes, ce n’était
pas beau : quelques cancers sur le nombre desquels les experts divergent,
mais oublions et consacrons-nous au réarmement, nucléaire
et autre… On pourra bientôt vivre à nouveau dans la zone morte
de Tchernobyl, non ? Ne nous recommande-t-on pas de nous habituer à
vivre avec la radioactivité ? Pourquoi cette excitation 20 ans après
? Le puissant et intelligent « lobby nucléaire » tire
profit de la catastrophe. Mais pas pour chercher à éviter
à tout prix un nouveau Tchernobyl : son objectif est l’exploitation
sans scrupules des dommages sanitaires de la catastrophe. (...)"
* "(...)
l'hypothèse
"hormesis", selon laquelle une petite quantité de rayonnement peut
produire des effets sanitaires bénéfiques, par exemple en
stimulant le système immunitaire. Les éléments essentiels
apportés à l'appui de cette hypothèse proviennent
d'expérimentations menées sur des souris. Selon un résumé
des preuves appuyant l'hypothèse hormesis, résumé
compilé par Charles Waldren, une dose élevée d'irradiation
avait, suivant les circonstances, produit moins de mutations quand elle
était précédé par une dose située entre
1 et 20 rem. Cet effet supposé protecteur ne se produit pourtant
pas à des doses plus faibles ou plus élevées, et ne
dure qu'environ l'espace d'une journée, après laquelle il
disparaît. Un tel effet hormesis, même s'il existe pour les
êtres humains, n'a pas de signification pour la santé publique,
particulièrement au vu des preuves d'autres risques à long
terme produits par des doses de quelques rems." (IEER
- Waldren, C., Adaptive Response, Genomic Instability, and BystanderEffects,
discours prononcé lors de la réunion de la Commission BEIR
VII à l'Académie nationale des sciences des Etats-Unis, Washington,
D.C, le 3 septembre 1999.)
* Que
se passe-t-il aujourd'hui autour de Tchernobyl?