Pour le moment, la fiscalité
«écolo» française concerne principalement le
logement. Les particuliers peuvent bénéficier de crédits
d'impôt pour des investissements réalisés dans le domaine
des économies d'énergie ou de la performance énergétique.
Comment y avoir droit? Pour en bénéficier, il faut réaliser des travaux dans son logement visant à optimiser sa consommation d'énergie ou sa performance énergétique : changer de chaudière, isoler son toit, installer un système de régulation de chauffage, poser des panneaux solaires, tous ces travaux ouvrent droit à un crédit d'impôt «développement durable». Ses travaux doivent faire l'objet d'une facture, hors mains d'œuvre, fournie par les entreprises les ayant réalisés. Quels sont les équipements concernés? Les travaux donnant droit à un crédit d'impôt sont : - les équipements de chauffage (chaudières basse température et à condensation), - les matériaux d'isolation, - les appareils de régulation de chauffage, - les équipements utilisant des énergies renouvelables, - la géothermie ou les pompes à chaleur dont la finalité essentielle est la production de chaleur, - les équipements de raccordement à certains réseaux de chaleur alimentés majoritairement par des énergies renouvelables ou des installations de cogénération. Quel taux de crédit d'impôt peut-on obtenir? Les crédits d'impôt varient de 15% à 50% suivant les équipements installés. Plus la réduction de la consommation d'énergie est importante et les rejets de gaz à effet de serre réduits, plus les crédits d'impôt sont intéressants. |
15% de crédit d'impôt pour les
chaudières à basse température.
25% de crédit d'impôt pour les chaudières à condensation, les matériaux d'isolation thermique, pour les appareils de régulation de chauffage et de programmation des équipements de chauffage, pour les équipements de raccordement à un réseau de chaleur si celui-ci est alimenté, soit majoritairement par des énergies renouvelables, soit par une installation de chauffage performante utilisant la cogénération. 40% de crédit d'impôt, si deux conditions sont remplies, pour les chaudières à condensation, les matériaux d'isolation thermique, pour les appareils de régulation de chauffage et de programmation des équipements de chauffage. D'abord, ces équipements doivent être installés dans un logement achevé avant le 1/1/1977. Ensuite, ils doivent être installés au plus tard le 31 décembre de la 2e année qui suit celle de l'acquisition du logement. 50% de crédit d'impôt pour les chauffe-eau et chauffages solaires, les capteurs solaires répondant à la certification CSTBat ou à la certification Solar Keymark, les équipements de chauffage ou de production d'eau chaude fonctionnant au bois ou grâce à la biomasse dont le rendement énergétique est supérieur ou égal à 65%. Quel est le montant des dépenses ouvrant droit au crédit d'impôt? Seules les dépenses d'équipement sont prises en compte, la pose n'ouvre pas droit à une défiscalisation. Le montant ouvrant droit au crédit d'impôt ne peut dépasser 8.000 € pour une personne seule. Il est porté à 16.000 € pour un couple sans enfant. En cas d'aide publique supplémentaire pour l'acquisition de l'équipement (conseil régional, conseil général, ANAH, etc.) le calcul du crédit d'impôt se fait sur les dépenses d'acquisition des équipements, déductions faites des aides publiques. |
Depuis le mois de juillet de cette
année, les aides que nombre de collectivités territoriales
accordent aux particuliers investissant dans les énergies renouvelables
pour leur habitation principale ne sont plus déduites du droit au
crédit d'impôt.
À condition que ces aides des collectivités portent exclusivement sur la main d'œuvre, elles ne font désormais plus baisser le montant du crédit d'impôt. Si le montant des aides locales est supérieur aux dépenses engagées pour la main d'œuvre, la base du crédit d'impôt est alors diminuée de la fraction de l'excédent se rapportant au prix de l'équipement éligible. Rappelons que le crédit d'impôt porte uniquement sur le coût du matériel mais que celui-ci doit être installé par un professionnel. Voici un exemple: pour son habitation principale, un contribuable fait installer par une entreprise un équipement éligible au crédit d'impôt, pour un montant total de 10.000 € dont 2.000 € au titre de la main-d'oeuvre et 1.000 € au titre de dépenses non éligibles. |
La base du crédit d'impôt s'élève alors
à 7.000 €. Imaginons que les aides locales auxquelles il peut
prétendre se montent à 2.000 €, versées exclusivement
dans le but de financer les seuls travaux d'installation. La base du crédit
d'impôt n'est alors pas affectée et reste fixée à
7.000 €.
Dans l'exemple précédent, imaginons maintenant que les aides locales se montent à 3.000 €. Il y a alors un excédent de 1.000 €. La base du crédit d'impôt est alors diminuée de la fraction de l'excédent se rapportant au prix de l'équipement éligible. La fraction se l'excédent se est ici de 875 €: 1.000 € x 7/8èmes, les 7/8èmes étant les 7.000 € du montant des dépenses éligibles divisés par 8.000 € du montant total total des dépenses autres que celles de l'installation. La base du crédit d'impôt est donc de 6.125 € (7.000 € - 875 €). Le bulletin officiel des impôts annonçant cette mesure est téléchargeable en cliquant sur: http://tinyurl.com/yqz8st (lien court). Les aides territoriales sur le site du CLER, www.cler.org/aides |
·La
France gâte ses fournisseurs d'énergie solaire à
un point tel qu'ils sont probablement les plus favorisés du monde.
En effet, la compagnie nationale Électricité de France (EdF)
garantit par contrat de 20 ans un prix de rachat du courant photovoltaïque
produit par les particuliers au tarif de 55 centimes le kilowatt-heure
(kWh), soit 5 à 6 fois plus que le prix de vente demandé
par la compagnie à sa clientèle domestique. Voilà
donc un fournisseur d'électricité qui achète à
ses clients un produit qu'il lui revend cinq ou six fois moins cher ! Ce
n'est pas le seul avantage réservé aux Français qui
garnissent leur toiture de tuiles photovoltaïques, plus élégantes
que les traditionnels panneaux. Ils bénéficient aussi d'un
solide crédit d'impôts et, dans certains cas, d'un soutien
des autorités régionales. Ainsi la Région Rhône-Alpes
offre-t-elle une subvention de l'ordre de 4.800 € pour une installation
photovoltaïque de 20 m2. Cette subvention est toutefois
déduite du prix d'achat des fournitures qui est retenu pour calculer
le crédit d'impôts.
L'industrie de la tuile photovoltaïque a calculé qu'une famille qui consacrerait 20.000 € pour équiper sa maison d'un système photovoltaïque de 20 m2 amortirait son investissement en une bonne dizaine d'années. |
Outre qu'elle assurerait ses besoins en électricité,
hors chauffage et eau chaude, en produisant bon an mal an quelque 2.000
kWh par an, cette famille pourrait compter sur un crédit d'impôt
maximal de 8.000 € et sur un revenu annuel de 1.100 € payés
par EdF (0,55 € x 2.000 kWh), revenu qui devient du bénéfice
net après la période d'amortissement.
Ainsi, les 12.000 € investis au départ (20.000 - 8.000 de crédit d'impôts) rapporteraient donc 1.100 € par an, ce qui représente un intérêt garanti de plus de 9% l'an, mieux qu'un livret d'épargne! Cette générosité est financée par l'ensemble des clients de la compagnie, mais cette solidarité forcée leur est pratiquement indolore tant que les candidats producteurs d'énergie solaire ne deviennent pas trop nombreux. EdF pratique en effet un tarif au consommateur parmi les plus bas d'Europe grâce à ses centrales nucléaires qui produisent à un coût de l'ordre de 3 centimes par kilowatt-heure, et donc 18 fois moins onéreux que le courant photovoltaïque. Documentation commerciale disponible sur: http://www.pv-starlet.com/fr/pdf/tuile-pv.pdf http://recherche-technologie.wallonie.be/fr |
http://www.pvdatabase.com
Annoncés en mai dernier par le Premier ministre,
les nouveaux tarifs de rachat de l'électricité produite à
partir d'installations photovoltaïques ont été publiés
par l'arrêté du 10 juillet 2006. Désormais, chaque
kWh produit rapporte 30 c€ au propriétaire de l'installation
si celle-ci est située en France métropolitaine et 40 c€
en Corse et dans les DOM-TOM où le potentiel est supérieur.
A cela s'ajoute une prime d'intégration au bâti de 25 c€/kWh
en France métropolitaine et 15 c€/kWh en Corse et dans les
DOM-TOM. Grâce à ces nouveaux tarifs, la rentabilité
des installations devient plus intéressante et si, en 2005, 6MW
soit 60.000 m2 de panneaux solaires photovoltaïques ont
été installés, 2006 devrait voir cette capacité
au minimum doubler. Avec un potentiel français estimé par
l'Agence Internationale de l'Energie (AIE) à 40% de la consommation
totale d'électricité, les perspectives du marché sont
impressionnantes. De plus, avec des prix de l'électricité
qui ne feront que croître de 1% par an et des coûts de modules
qui baisseront de 5% par an en moyenne, les installations solaires vont
très vite devenir compétitives par rapport au prix de vente
de l'électricité au particulier. L'association européenne
de l'industrie photovoltaïque (EPIA) estime que le coût du kWh
photovoltaïque sera inférieur au kWh réseau classique
dès 2010 dans les zones très ensoleillées où
l'installation pourra fonctionner 1800 heures /an et dès 2020 dans
les zones où l'installation pourra fonctionner 900 heures /an. Même
en Grande-Bretagne et en Scandinavie ce serait possible en 2030. C'est
pourquoi l'EPIA prévoit une croissance du marché de l'ordre
de 30% par an jusqu'en 2010 et 25% par an par la suite. Selon l'Hespul,
à ce moment-là, les seules limites au déploiement
du photovoltaïque seront la surface disponible notamment dans les
villes et la capacité du réseau à gérer les
sources intermittentes. De nombreuses études commencent déjà
à étudier ces questions.
F.LABY
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http://www.news.batiweb.com/
Le photovoltaïque: une idée lumineuse et une filière en pleine expansion Le 16 juillet 2006 la France s'est dotée
d'un tarif d'achat parmi les plus performants en Europe. Elle est pour
l'instant le seul pays à avoir affiché une telle volonté
de promouvoir l'intégration au bâti. A l'occasion de son colloque
« Construire durablement avec le photovoltaïque » organisé
sur le Salon des Energies Renouvelables, l'Agence de l'environnement et
de la maîtrise de l'énergie dresse l'état des lieux
de l'énergie photovoltaïque intégrée en France.
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A l'issue d'un comité interministériel
sur le développement durable, le gouvernement a validé le
plan Climat pour une période allant jusqu'en 2012 et a notamment
annoncé le triplement des crédits d'impôts en 2007
pour la rénovation énergétique des bâtiments
anciens, passant d'un budget de 300 millions € en 2006 à 1
milliard en 2007.
"La rénovation énergétique des bâtiments anciens commence à se développer", a souligné le Premier ministre à l'issue d'un comité interministériel sur le développement durable à Matignon. "Des moyens financiers sans précédent ont été débloqués: 1 milliard de crédits d'impôts pour 2007", a-t-il noté. Cet effort financier vise à inciter les particuliers à avoir recours, lorsqu'ils rénovent leur logement, à des moyens et des matériaux qui sont protecteurs de l'environnement. M. de Villepin a rappelé que le chauffage et la climatisation représentaient 50% de notre consommation d'énergie. Des efforts devraient également être réalisés, dans le cadre de la formation, pour mieux sensibiliser les professionnels du bâtiment à ces enjeux, a-t-il indiqué. Tous les acteurs du secteur sont concernés: artisans, PME, architectes, donneurs d'ordre publics… Toujours en matière de fiscalité, Dominique de Villepin veut renforcer le principe pollueur et a annoncé la création en 2007 d'une taxe sur la consommation de charbon (seul combustible exempt de toute taxation spécifique), ainsi que l'augmentation de 10% de la taxe sur la pollution industrielle et les déchets et celle sur les nuisances aériennes. Le produit de ces taxes, évalué à "50 millions €", sera affecté "prioritairement" à de nouvelles actions de lutte contre le changement climatique, "comme le soutien à la chaleur renouvelable", a-t-il ajouté. |
Par ailleurs, le gouvernement va augmenter, de 10%
également, la taxe sur les nuisances sonores aériennes, dont
les ressources seront affectées, a précisé M. de Villepin,
à "l'insonorisation des logements situés à proximité
des aéroports".
Ces mesures fiscales seront inscrites dans le projet de loi de finances rectificative, qui sera présenté mercredi en Conseil des ministres. Elles doivent entrer en vigueur au 1er janvier 2007 et jeter "les bases d'une véritable fiscalité écologique". Le gouvernement va également autoriser les collectivités locales à exonérer, totalement ou à hauteur de 50%, les agriculteurs biologiques de taxe sur le foncier non-bâti. Elles pourront aussi exonérer de taxe sur le foncier bâti les logements économes en énergie. En outre, les dépenses d'entretien et de restauration seront défiscalisées pour les propriétaires de sites paysagés labellisés par la Fondation du patrimoine. Par ailleurs, le Premier ministre veut sensibiliser l'ensemble Français aux économies d'énergie, notamment en augmentant de 75% (soit 3 millions €) les moyens affectés aux campagnes de l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (ADEME), "pour leur donner un impact comparable aux grandes campagnes sur la santé". Enfin, le nombre d'espaces "Infos énergie" devrait aussi être multiplié par deux en trois ans (175 actuellement), pour qu'au moins 2 millions de personnes puissent "se rendre dans ces points de conseil de proximité pour recevoir des conseils personnalisés". |
Pour réaliser économies
d'argent et d'énergie, le Nord Pas-de-Calais et la Picardie viennent
en aide aux particuliers
Des prêts à taux 0% peuvent être souscrits auprès des Conseils Régionaux pour isoler les habitations construites avant 1982. Les particuliers peuvent emprunter jusqu'à 6000 € dans le Nord Pas-de-Calais depuis le mois de mai dernier et jusqu'à 6500 € en Picardie depuis ce 28 juin. Ces prêts sont accessibles sans condition sur les ressources des bénéficiaires. |
En Picardie, on estime que les travaux qui seront
réalisés dans ce cadre pourront permettre des économies
d'énergies importantes: de l'ordre de 20 millions € par an.
Ils généreront une activité économique également
non négligeable: environ 100 millions € sur cinq ans.
A l'Ademe, l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie, on appuie avec enthousiasme la nouvelle mesure. Selon l'Agence, l'isolation des combles permet une économie d'énergie de 30% et l'isolation des murs une économie de 25%. A noter que ces prêts peuvent être complétés par des crédits d'impôts. |
L'ensemble des
arrêtés fixant les tarifs d'obligation d'achat est entré
depuis la fin de l'année dernière dans un processus de révision.
Un critère simple de taux de retour sur investissement du projet
a été retenu pour s'assurer d'une rémunération
normale des capitaux.
Une première série de textes portant sur le biogaz, l'éolien terrestre et en mer, le solaire et la géothermie sera publiée dans les prochaines semaines, une fois reçu l'avis de la CRE. Le reste des textes, y compris la cogénération, devrait être publié à l'automne : * La méthanisation de déchets, que ce soit dans l'industrie agro-alimentaire ou à la ferme, va bénéficier d'un tarif majoré de plus de 50% avec une prime à l'efficacité énergétique qui portera le tarif d'achat maximum à 14c€ /kWh; |
* Le tarif pour la géothermie, 12c€/kWh
en métropole et jusqu'à 15c€ /kWh avec cogénération,
doit susciter des développements nouveaux sur la base de la technologie
développée avec le pilote de Soultz-sous-Forêt;
* Le solaire photovoltaïque verra son tarif doublé en métropole, de 15 à 30 c€/kWh, avec en plus une prime de 25 c€ /kWh pour l'intégration au bâtiment. C'est une prime à l'innovation, à des produits tels que les tuiles solaires. * Concernant l'éolien, le tarif sera ajusté pour tenir compte des leçons tirées de la pratique actuelle. La nouveauté réside dans l'instauration d'un tarif pour l'éolien en mer. Le tarif maximum est de 13 c€/kWh. |
Le 15 mai, le Premier Ministre, dans
sa déclaration sur la politique énergétique de la
France, a annoncé une révision du
tarif d'achat de l'électricité photovoltaïque.
L'exemple donné par M. de Villepin pour illustrer cette hausse laisse entendre un nouveau tarif d'achat à 30,5 c€/kWh pour les nouvelles installations (actuellement le tarif d'achat est de 13,8c€/kWh). |
On entend également beaucoup parler d'une "prime" additionnelle de 25c€/kWh pour le photovoltaïque intégré au bâti, l'addition des deux nous donnerait donc 55,5 c€/kWh. De plus le crédit d'impôt à 50% sur le matériel, pour les particuliers, serait maintenu. |
La loi de finances 2005 prévoit
que, à partir du 1er janvier de cette année, un crédit
d'impôt peut s'appliquer pour les dépenses d'équipement
de l'habitation principale en équipements performants et pour l'installation
de chauffe-eau solaires et autres équipements utilisant les énergies
renouvelables.
L'arrêté du 9 février 2005 précise la liste des équipements, matériaux et appareils concernés ainsi que les caractéristiques techniques et les critères de performance minimale requis pour l'application du crédit d'impôt. Rappelons que le crédit d'impôt s'applique dans les cas suivants : |
- pour les habitations principales de plus de deux ans : 15%
pour les chaudières à basse température individuelles
et collectives et 25% pour les chaudières à condensation
;
- sur les matériaux d'isolation thermique et les appareils de régulation de chauffage pour les habitations principales de plus de deux ans, le taux passe de 15% à 25% ; - sur le coût des équipements de production d'énergie utilisant une source d'énergie renouvelable ou des pompes à chaleur pour les habitations principales neuves ou anciennes, le taux passe de 15% à 40%. |
PACA: La Région
Provence Alpes Cote d'Azur vient de décider l'octroie d'une
prime fixe de 700 € (quelle que soit la taille du chauffe-eau solaire)
qui complète la prime délivrée par l'Ademe. Cette
decision devrait entraîner une augmentation significative des ventes
en région PACA, dont le potentiel de marche est très superieur
à celui constaté jusqu'à aujourd'hui.
ALSACE : La région Alsace continue son parcourt en tête dans le domaine du solaire thermique. Aux initiatives régionales et de l'Ademe, viennent se rajouter les aides communales: |
c'est ainsi que la communauté urbaine de Strasbourg et la ville
d'Illkirch apportent une aide de 300 € par chauffe-eau, et la ville
de Plobsheim une subvention de 150 € par système.
BELGIQUE : Les aides disponibles pour l'achat d'un chauffe-eau solaire en Région wallonne peuvent atteindre 2620 €, sans dépasser 75 % du coût d'investissement. Elles se répartissent ainsi : Région wallonne (625 € pour les 4 premiers m² + 75 € par m² supplémentaires), Province ( 620 €), Opérateurs Gaz et Elec (1250 €), Commune (exemple de Mouscron 125 €). |
CHAUFFE-EAU SOLAIRE en Franche-Comté: 62nouvelles installations y ont vu le jour en 2001.
C'est peu, comparé à d'autres lieux. Pourtant le particulier y bénéficie d'un soutien d'installation important. Pour moins de 3m2 de capteur 1.380 €.
Pour > 3 et <5m2 c'est 1.840 € et pour plus de 5m2 2300 €. De plus, le taux de TVA est réduit à 5,5%.