RÉSEAU
SOL(ID)AIRE DES ÉNERGIES !
Résumés de publications environnementales
internationales
"Tout
Nucléaire: une exception française"; par Perline, 112
pages. 2 €, franco
VertigO:
la revue électronique en sciences de l'environnement
(Canada)
2005
"Peak
oil": pour quand ? La vie après le pétrole,
par Jean-Luc Wingert, Editions Autrement, 2005.
2004
PLOGOFF
Un combat pour demain, éditions Cloitre.
L'auteur, Gérard Borvon, l'a écrit en argumentant pour "Sortir
du nucléaire" et ne pas faire l'EPR. Une bonne lecture de rentrée
Commande avec un chèque de 19€
Gérard Borvon, 20 rue des frères Mazéas,
29800 Landerneau
=> à transférer dans la bibliographie...
Bruno Barillot (GRIP),
Groupe de recherche et d'information sur la paix et la sécurité;
L'Europe, la sécurité internationale et le développement
durable:
Les irradiés de la
république, les victimes des essais nucléaires français
prennent la parole
240 pages - 15,90 € ISBN 2-87027-972-8
Ils étaient
150.000, pour la plupart de très jeunes hommes. Ils étaient
peu – ou même pas du tout – informés sur les risques de la
radioactivité. Désinformés même. Telles ces
recommandations remises au personnel des essais par les autorités
de la marine: «Une minute et demi après l’explosion,
les débris sont tous retombés et il n’y a aucun danger provenant
du rayonnement.» Les radiations retardées? Elles sont
«si faibles qu’elles ne constituent pas un danger. Ne vous
en occupez pas».
Naïfs? Respectueux de
la parole d’autorité? Ils étaient fiers de participer à
cette grande aventure qui, leur disait-on, allait hisser la France au niveau
des plus grands. Et que de souvenirs allaient-ils rapporter de cet immense
désert saharien ou des îles paradisiaques du Pacifique. «On
a beau savoir que la bombe est un objet de mort, lorsqu’elle explosa, je
fus fasciné par ce lever de soleil artificiel.»
Et on leur disait alors, comme
on le répète encore officiellement aujourd’hui, que ces bombes
étaient «propres»… Quel mal pouvait donc
les frapper? Ils ne l’apprendront – pour les plus chanceux – que dix, vingt,
trente ans plus tard quand les cancers et autres maladies les atteindront.
Enfin, ils parlent, sortant
du mutisme qui, sous prétexte de secret militaire, les avait enfermés
dans l’oubli. Enfin, ils se battent pour que «vérité
et justice» soient rendues aux victimes des essais nucléaires.
L'auteur:
Co-fondateur du Centre de
documentation et de recherche sur la paix et les conflits (CDRPC), Bruno
Barrillot travaille depuis près de vingt ans sur les conséquences
des essais nucléaires. Auteur de plusieurs livres sur les expériences
françaises au Sahara et en Polynésie, animateur de colloques
et conférences destinées à alerter l’opinion, les
élus, les pouvoirs publics, proche des victimes, il présente
ces témoignages bouleversants – et inédits pour la plupart
– en les situant dans un contexte dont il est l’un des grands spécialistes.
Chaïm Nissim: L’amour et le monstre, roquettes
contre Creys-Malville.
Paru aux éditions Favre www.editionsfavre.com
On peut aussi le commander en écrivant
à l’auteur: cnissim@iprolink.ch
En 1998, lorsque le gouvernement
Jospin annonce enfin la fermeture définitive et le démantèlement
de Superphénix, à Creys-Malville, la centrale la plus dangereuse
du monde, c’est l’aboutissement de 25 ans de luttes. De luttes, de pannes,
de recours et de manifestations.
L'auteur raconte ses souvenirs
de ces moments exaltés. Ses souvenirs d'actions clandestines pour
sauver la planète, ses sentiments, les motivations véritables,
l'histoire de loups gris et anonymes qui ont tourné pendant 5 ans
autour de ce chantier maudit, dans l’espoir de le bloquer vraiment. Il
y raconte ses peurs, peur de blesser un innocent, peur d’être arrêtés
et de finir ses jours jours en prison, peur de se tromper et de se perdre
avec des terroristes, peur surtout de perdre... l’amour. Il y raconte aussi
les rires triomphants et libérateurs, lorsqu’un coup particulièrement
difficile comme celui du «tube» (le bazooka), par exemple,
aboutissait sans blesser personne…
2002
Commençons par l'inattendu et impressionnant
"Les liquidateurs" de Jacques Bullot, aux éditions
Noir
délire (F), 2002:
Extrait de la critique de la G@zette
Nucléaire No 199/200, sept. 2002:
Une fois n’est pas coutume mais pour votre
rentrée, essayez ce polar. Nos officiels ne cessent de dire que
Tchernobyl
c’est fini. Or nous savons bien que c’est faux, les conséquences
sont loin d’avoir atteint leur terme. Ce livre nous fait plonger dans un
drôle de monde et connaître “un liquidateur”. C’est une fiction
mais c’est bien mené et après tout qui un jour utilisera
éventuellement le nucléaire pour faire peur. Souhaitons que
cela n’arrive jamais car la réalité dépasse la fiction
en règle générale.
Chercheur au CNRS jusqu'en 1997, J.B. est venu au
roman noir par la découverte des Hammett, Goodis, Jonquet et autres
démystificateurs de la société contemporaine. En 2001,
il a publié chez
Noir délire, La gueule de l'emploi
et un recueil de nouvelles, La couleur du temps.
Ce livre a particulièrement plus au "webmaistre"
mais je n'oublierai pas non plus les nombreux autres livres proposés
par la Gazette, au fil de ses 200 numéros et quelques!...
Dans la même G@zette:
-“L’avenir climatique” de Jean-Marc Jancovici
(Éditions du Seuil - 20 €)
-“La filière nucléaire du
plutonium, menace pour le vivant” de Jean-Pierre Morichaud (à
paraître en octobre 2002)
1999
FRANCE, poubelle nucléaire
Perline (éditions Raymond Castells)
Des coeurs de réacteurs aux déchets de
mines d’uranium, en passant par les conséquences de la bombe atomique
et les rejets «en fonctionnement normal» (sic) des centrales
nucléaires, l’accumulation de déchets nucléaires s’est
faite progressivement, jusqu’à ce que les techniciens, suivis des
politiques, se rendent à l’évidence: la science ne trouvera
pas de solution, il faut nous occuper de ces mortels répandus par
l’homme.
La France - 1 réacteur par million d’habitants
-, a parié sur la technologie nucléaire sans en mesurer les
conséquences; c’est pourquoi elle doit faire face à ce problème
de manière plus aiguë que ses voisins.
Pire, la politique qui se dessine incite à
faire de l’Hexagone, dans la plus grande discrétion et sous couvert
d’économie, la terre d’accueil des déchets nucléaires
qui encombre ses «partenaires».
Cela n’est possible qu’en baillonnant toute information
sur le nucléaire ainsi que les conséquences des faibles
doses de radioactivité.
Pourtant, des instances internationales le reconnaissent
dorénavant, toute dose de radioactivité, naturelle ou artificielle,
aussi faible soit-elle, a des conséquences délétaires.
Il est absolument primordial de se préoccuper
de notre santé et de celle de nos enfants, ainsi que de l’état
de la planète que nous léguons aux générations
futures.
Perline est diplômée de l’Ecole
nationale des Mines de Paris et Docteur ès - sciences - technologie
- société.
Après ses études, se rendant compte
que son seul débouché professionnel possible était
l’armée ou le nucléaire, elle a préféré
passer le reste de sa vie la conscience tranquille et abandonner la recherche
à but destructif.
1998
L'avenir du désarmement
No spécial de la Revue
internationale et stratégique
1997
Tout
nucléaire, une exception française,
Perline, nucléoclaste notoire, coll. l'esprit
frappeur, éd. Dagorno, nov. 1997, 112 p., 10 FF !
1996
TCHERNOBYL, conséquences sur l'environnement,
la santé et les droits de la personne
Tribunal Permanent des Peuples, Commission Médicale
Internationale de Tchernobyl
10 ans après Tchernobyl, la situation s'aggrave
de jour en jour. Le nombre des victimes s'accroît sans cesse, le
pire est à venir, et l'avenir des générations futures
est compromis. Les nucléocrates quant à eux n'ont rien appris.
Pire, ils élèvent les «normes de doses admissibles
en cas d'accident», réduisant ainsi les coûts de Tchernobyl
et ceux des «accidents à venir», aux dépens des
victimes présentes et futures.
Le Tribunal Permanent des Peuples a entendu une
quarantaine d'experts et de témoins à charge. Malheureusement,
les pronucléaires invités ont refusé de venir témoigner.
Ces données dramatiques, absolument inédites
en Occident, en particulier l'atteinte irréparable au patrimoine
génétique et les malformations, méritent la diffusion
la plus large: elles mettent définitivement fin au mensonge institutionnel
qui caractérise le nucléaire.
Dans son verdict, le Tribunal Permanent des Peuples:
«condamne l'AIEA, les commissions nationales pour l'énergie
atomique, et les gouvernements qui les soutiennent et les financent, au
nom des intérêts de l'industrie nucléaire...,
- pour essayer de promouvoir l'énergie nucléaire par
le mensonge, l'intimidation et l'utilisation non éthique du pouvoir
de l'argent...,
- pour leurs tentatives de supprimer toutes formes de sources d'énergie
alternatives, renouvelables et soutenables...,
- blâme ceux qui, dans la communauté scientifique, ne
se lèvent pas pour défendre l'honneur de leur profession,
face aux pressions des nucléocrates, et qui observent un silence
assourdissant, malgré les fortes preuves scientifiques attestant
de la nature omnicide de l'entreprise nucléaire...,
... c’est pourquoi l'industrie nucléaire doit être interdite
pour l'usage civil et militaire...».
Ce document doit servir à toutes celles et
à tous ceux qui luttent contre le nucléaire sous toutes ses
formes, pour un avenir durable, à ceux qui se préoccupent,
ici et maintenant, de l'avenir de notre petite planète si gravement
menacée.
Le meilleur hommage que nous puissions rendre aux
victimes de Tchernobyl c'est qu'il y ait jamais, nulle part, un nouveau
Tchernobyl. Le temps presse. Nous en sommes, chacune et chacun, à
la place où nous nous trouvons, personnellement responsables.
1993
@
"TCHERNOBYL UNE CATASTROPHE"
Bella et Roger Belbeoch
224 p., 125 FF. Mise en vente le 26 avril 1993. Distribution Harmonia
Mundi.
Editions ALLIA, 16 rue de Charlemagne 75004 Paris. Tél: 42.72.77.25-
Fax: 42.72.52.04
Vous pouvez le commander au prix de 100 F au GSIEN
Sept ans après Tchernobyl, un point sur
la situation, un point critique aussi bien sur le rôle des experts
que sur les conséquences à long terme de cet accident. Vous
ne regretterez pas la lecture de ce bilan et de ce réquisitoire:
le nucléaire n'est pas gérable.
1990
Dossier Creys-Malville (Editions Slatkine, Genève)
Préface de Guy-Olivier Segond (conseiller
d'Etat et ancien maire de la Ville de Genève)
Introduction de Monique Sené, Dr ès
Sciences, présidente du GSIEN (Gazette Nucléaire)
CREYS-MALVILLE se trouve à quelque 70 km de Genève
et à 50 km de Lyon. C'est là, au bord du Rhône, que
Superphénix dresse son imposante silhouette. 194.100 m3 de béton
(l'équivalent de 1300 villas de 8 pièces). 20.250 tonnes
de ferraille (trois tours Eiffel). 700 tonnes de sodium. 5 tonnes de plutonium
(dont 1 micro-gramme est mortel). Plusieurs pannes. Et quelques incidents,
que l'on pensait hypothétiques, puisque - au pire - ils ne devaient
se produire qu'une fois tous les 10.000 ans. Mais il convient, n'est-ce
pas, d'être indulgent: ne s'agit-il pas d'un prototype?
Comment-a-t-on pu laisser se réaliser ce
qu'un conseiller d'Etat genevois qualifie de «projet industriel le
plus coûteux et le plus dangereux du monde»? Pourquoi, au nom
du secret d'Etat, s'obstine-t-on à museler les médias? Surtout
après l'accident fatal au barillet, en mars 1987.
Pourquoi cet acharnement dans la poursuite d'une expérience qui
suscite les mises en garde de spécialistes mondiaux? Et une levée
de boucliers des collectivités de la région Rhône-Alpes.
C'est que les enjeux sont colossaux: financiers et militaires. Alors, les
principes démocratiques...
Pourtant, le discours sécurisant et banalisateur
s'essouffle. La crédulité a ses limites. Les perfides nuages
de Tchernobyl ont fait le tour de la terre. Dans le mur du silence, quelques
fissures apparaissent, par lesquelles s'échappent certains rapports
confidentiels. Et inquiétants. Tel celui d'EDF (Electricité
de France) que nous avons estimé devoir porter à la connaissance
du public. Sommes-nous vraiment disposés à courir un risque
d'une aussi folle ampleur? N'est-il d'autres choix que l'atome ou la bougie?
Ce dossier n'a pour ambition que de contribuer à éclairer
votre lanterne.
L'Hiver nucléaire, Carl Sagan et Richard
Turco (Seuil)
Si la plupart des recherches scientifiques n'ont guère
d'écho hors d'un cercle limité de spécialistes, d'autres
se révèlent lourdes de conséquences et débordent
largement le milieu scientifique tant leurs implications sociales et politiques
sont immédiatement évidentes. Tel est le cas de l'«hiver
nucléaire», analyse de l'impact climatique d'une guerre nucléaire.
Les nuages de fumée et de poussière produits par un conflit
- même limité - suffiraient à obscurcir durablement
l'atmosphère et à faire chuter les températures moyennes
de plusieurs degrés, menant à un cataclysme écologique
à l'échelle de la planète. En montrant ainsi qu'une
guerre nucléaire ne peut avoir de vainqueur, la théorie de
l'hiver nucléaire a suscité une prise de conscience mondiale
qui a certainement accéléré le processus de désarmement
entrepris par les deux superpuissances. Mais ses implications ne sont pas
moins cruciales quant aux risques de dissémination de l'armement
nucléaire. Rarement science et politique ont été aussi
étroitement mêlées. La passionnante découverte
de l'hiver nucléaire est ici racontée par deux de ses principaux
instigateurs, Carl Sagan et Richard Turco, qui explorent aussi les nouvelles
voies pouvant mener à un meilleur équilibre stratégique,
voire à une disparition totale de la menace nucléaire.
Carl Sagan est professeur d'astronomie
et de sciences spatiales, et directeur du Laboratoire de planétologie
à l'université Cornell (États-Unis). Lauréat
du prix Pulitzer, il est aussi le créateur de la série télévisée
«Cosmos», et l'auteur de livres à succès (Cosmic
Connection, Les Dragons de I'Eden).
Richard Turco est professeur de sciences de l'atmosphère
à l'université de Californie à Los Angeles (UCLA)
et lauréat du prix MacArthur.
Avec leurs collègues, Carl Sagan et Richard Turco ont reçu
le prix Leo Szilard, décerné par l'American Physical Society,
pour leur découverte de l'hiver nucléaire. Ils sont fréquemment
consultés par le Congrès américain, le département
de la Défense, et les dirigeants de plusieurs autres pays, comme
experts sur les conséquences à long terme d'une guerre nucléaire.
Traduit de l'américain par Jean-Baptiste Grasset.
1989
L'EUROPE DES SURRÉGÉNÉRATEURS
Développement d'une filière nucléaire
par intégration politique et économique
Klaus-Gerd Giesen (PUF)
Les surrégénérateurs sont des centrales
nucléaires de la deuxième génération. En Europe
occidentale, le développement de cette filière n'a été
possible que grâce à une étroite collaboration politique
et économique entre les Etats, ainsi que par l'intégration
transnationale de leurs industries nucléaires et agences de recherche.
Un des résultats en est «Super-Phénix»:
il ne s'agit en effet nullement d'une centrale française, mais d'un
prototype conçu, construit et commercialement exploité en
commun par six Etats européens. Le surrégénérateur
de Kalkar en RFA relève également d'un statut transnational.
Et, d'ores et déjà, on prépare la construction d'un
nouveau surrégénérateur européen, plus puissant
que tous ses prédécesseurs, qui est censé ouvrir la
voie à l’implantation massive de cette mégatechnologie en
Europe.
Le présent ouvrage retrace l'histoire de
la coopération européenne en la matière - du début
des années soixante jusqu'aux projets les plus récents. Il
dévoile les activités des promoteurs dans les coulisses de
la politique européenne: si la filière surrégénératrice
a pu prendre son essor et continue à progresser en dépit
de déboires techniques et malgré de nombreuses résistances
apparues aux niveaux nationaux, c'est notamment en raison de l'action très
discrète, mais efficace, des Communautés européennes,
ainsi que de plusieurs autres organismes européens dont l'existence
même n'est souvent connue que par les seuls initiés.
Après des études de science politique,
de philosophie et de droit, Klaus-Gerd Giesen a été assistant
à l'Université de Genève, puis à l'institut
universitaire d'études européennes. Il effectue actuellement
des recherches sur les relations internationales à l'University
of Southern California de Los Angeles.
1986
Crépucule des atomes, Louis Puisieux
(Hachette) Préface de Dany Cohn-Bendit
Windscale, 1957; Khystym, 1958; Three Mile Island, 1979;
Tchernobyl, 1986... La liste des catastrophes atomiques est désormais
assez longue pour permettre d'évaluer les vrais dangers du nuléaire
"civil"(?). La question fait l'objet de débats passionnés
dans tout l'occident. Seuls, les français paraissent résignés,
anesthésiés par une information à sens unique. le
passage sur la France du nuage de Tchernobyl a montré combien les
responsables, liés par la tradition du secret militaire, redoutaient
de faire confiance à la pupulation.
Illustré d'une quarantaine de graphiques,
carte et dessins, rédigé dans un style direct, parfois narquois
mais toujours scrupuleux, ce livre - qu'on lira comme un vrai roman policier
- analyse les faits et circonscrit les enjeux. Que s'est-il passé
à Tchernobyl? Qu'est-ce que la radioactivité et comment s'en
protéger? Pourquoi la France a-t-elle "mis tous ses oeufs dans le
même panier"... nucléaire? En quoi l'attitude de la société
français vis-à-vis des centrale et de la bombe est-elle si
différente de celle des autres pays? Ancien économiste
à la direction d'EDF, Louis Puiseux est directeur d'études
à l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales depuis 1978. Dans
L'Energie
et le désarroi post-industriel (1973), il avait pressenti
le premier choc pétrolier. En 1977, sa publication de La
Babel nucléaire avait suscité bien des controverses.
1980
140 dessins CONTRE
le nucléaire
Coordination nationale
antinucléaire, secrétariat du comité Malville de Lyon
Préface d'Haroun
Tazieff