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* maladie... * NOUVELLES DE FUKUSHIMA (Gazette Nucléaire) |
* Fukushima: une vidéo inédite et des vapeurs suspectes (fukushima.over-blog.fr, suivi Fukushima) * Flamanville: fuite de vapeur d'eau dans la centrale nucléaire (atlantico.fr) * Appel à tous scientifiques et experts indépendants opposés au projet CIGeo à BURE, en Champagne-Lorraine (cigeout.com/) * licenciement de Bruno BARILLOT (pdf obsarm.org, criirad.org): La CRIIRAD dénonce le licenciement de Bruno BARRILLOT et s’inquiète de voir refermer, une fois de plus, le dossier de l’impact sanitaire et environnemental des essais nucléaires de la France et vous invite à lui adresser un message de soutien * L’Assemblée nationale se saisit enfin de la question de la sûreté des installations nucléaires! (eelv.fr) * Fuite de réservoirs d’eau radioactive sur le site de Fukushima Dai-ichi (Gazette Nucléaire, suivi Fukushima) * GazetteN°268: installée! |
* L’énigme du corium mouillé (mediapart.fr, Communiqués GSIEN) * Is it safe? Ruling party pushes nuclear village agenda (nytimes.com): en anglais, une fois n'est pas coutume... * A Fukushima, des "nettoyeurs" irradiés et sous-payés (lemonde.fr) * Centrales nucléaires: démantèlement impossible ?: 1) document lemonde.fr 2) rediffusion Arte 25 mai: Voici quarante ans, les concepteurs des centrales nucléaires n'avaient pas prévu que, devenus trop vieux et donc dangereux, les réacteurs devraient être un jour démontés, et qu'il faudrait stocker leurs déchets hautement radioactifs. Un état des lieux alarmant sur les dangers de la déconstruction des sites nucléaires. Si les opérateurs et les autorités de la sûreté nucléaire assurent pouvoir maîtriser ce processus de démantèlement, la réalité est toute autre. * Une mer d'uranium et de thorium en dessous de la croûte terrestre (ADIT) Ces nouvelles données démentent avec plus de certitude l'hypothèse qu'au centre de notre planète agirait un énorme réacteur naturel appelé géo-réacteur, utilisant les gisements d'uranium présents autour du noyau central de la terre. *Découverte au port d'Alger de déchets radioactifs provenant de Chine: newsring.fr - lemonde.fr Le GSIEN cherche à savoir s'il s'agit de déchets miniers; à suivre... |
Article de Sciences et Avenir, Article de Actu-environnement Poser la question, c'est y répondre: non, bien sûr, ce silo n'est pas sûr, il est même excessivement dangereux. Mais l'affaire ne s'arrête pas à cette simple réponse, loin de là. D'abord, notons que ce silo contient "518 tonnes de déchets, principalement composés de magnésium, de graphite, d'aluminium et d'uranium", entreposés entre 1973 et 1981, et que "Certains de ces déchets sont pyrophoriques, c'est-à-dire qu'ils ont la propriété de s'enflammer spontanément à température ambiante au contact de l'oxygène". Bigre ! Suite à un incendie, le silo a été noyé en 1981 et, depuis, rien n'a bougé. La « sûreté » de ce machin, véritable bombe à retardement, tient à une simple « peau » en acier. Depuis 33 ans ! Or, subitement, l'Autorité de sûreté (ASN) - qui connaissait parfaitement cette affaire – semble découvrir la précarité de cette situation... et la gravité d'un accident possible, voire probable. Le site Areva de La Hague est donc mis en demeure de faire quelque chose... ce qui lui a déjà été demandé par l'ASN en 2010, vainement. Pour mémoire, le précédent chef de l'ASN, l' «admirable Lacoste», était prétendument intransigeant avec les exploitants, légende colportée par les médias mais contestée vivement par l'Observatoire du nucléaire (cf http://bit.ly/TcrXje ). D'ailleurs, il nous étonnerait que le vénérable retraité se repose près de La Hague... Source: Observatoire du nucléaire * Effets de terre: Le nucléaire sauve des vies, et alors? (effetsdeterre.fr/) * RAPPEL: «Dans son scénario pour un monde décarboné à l’horizon de 2050, l’AIE ne crédite l’atome que de 4 à 5% des émissions évitées de GES, contre 60% qui proviendraient de la sobriété énergétique, 20% des énergies renouvelables et 15% de la séquestration du gaz carbonique rejeté par la combustion du charbon et des énergies fossiles. On peut donc parfaitement se passer du nucléaire, d’autant qu’il ne représente qu’une faible part de la production d’électricité dans les pays qui l’ont adopté, à l’exception de cinq d’entre eux(Etats-Unis, France, Japon, Russie, Allemagne.)» (Benjamin Dessus, président de l’association Global Chance) * L'équipe française du nucléaire avec Ben Laden !: Areva et EDF, qui ont accompagné la semaine dernière le ministre du redressement productif Arnaud Montebourg en Arabie Saoudite, disposent d'un bureau commun à Riyad depuis juin, et travaillent avec le Saudi Bin Laden Group de la famille éponyme (IOL nº669). La Cité du roi Abdallah pour l'énergie nucléaire et renouvelable (KA-Care) souhaite doter le pays de pas moins de seize centrales nucléaires, dont les premières doivent commencer à produire en 2020. Les deux représentants d'Areva et d'EDF à Riyad, Ali Nouri et Slimane Noceir, sont le relais sur place de l'offre française sur ce contrat, également convoité par les groupes nucléaires américains (IOL nº682). Dans l'électricité, EDF travaille aussi avec le groupe Soroof du prince Bandar bin Abdallah. Hélas, article intégral payant... * La guerre nucléaire a commencé (réseau Voltaire, 2004 mais installé en 2013!) |
* "J’ai visité la centrale nucléaire de Fukushima" (sciencesetavenir.fr, suivi Fukushima) * Catastrophe nucléaire sur le sol français: quelle facture ? (techniques-ingenieur.fr): Thomas Le Diouron, Managing Partner de la société de conseil Impulse Partners, s'est penché sur les éventuels coûts qu'une catastrophe nucléaire ayant lieu sur le sol français entraînerait. Il y a quelques jours, l'Institut national de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) jetait un froid en annonçant que, si une catastrophe nucléaire semblable à celle de Fukushima survenait en France, celle-ci pourrait coûter de l’ordre de 430 milliards €. Les coûts indirects (impacts sur l'économie) étant d'ailleurs estimés plus élevés que les coûts directs (décontamination, indemnisation des victimes...). Certes, le chiffre peut sembler démesuré d'autant que la catastrophe de Fukushima résulte d'une suite d'évènements qui paraissent peu reproductibles dans l'hexagone (tremblement de terre et tsunami dans une région très industrielle et très peuplée, impéritie de l'opérateur Tepco....). Mais faut-il vraiment s'étonner d'un tel montant et peut-on être vraiment assuré que ce scénario catastrophe ne se produira jamais en France? A ces deux questions, la réponse est malheureusement non. L'histoire récente des catastrophes relevant de l'intervention humaine montre que leurs coûts et leurs conséquences ne font que s'amplifier. Ainsi, Tchernobyl a coûté plusieurs centaines de milliards de dollars et a précipité la faillite de l'Union Soviétique. Dans d’autres registres, les attaques contre le World Trade Center ont déclenché le conflit d’Afghanistan; l’effondrement de mécanismes de titrisation de crédits «subprime» a provoqué une contagion sur le système bancaire mondial, etc. * Les rejets radiologiques massifs diffèrent profondément des rejets contrôlés (pdfIRSN, archives documents importants) * Le jour où la France a frôlé le pire (lepoint.fr, Communiqués GSIEN, controverses nucléaires) * Nouveau découpage des zones d'évacuation à Fukushima valable à partir du mois d’avril 2013 (fukushima.over-blog.fr, suivi Fukushima) * Un accident nucléaire, c'est la fin de la démocratie (lemonde.fr, controverses nucléaires) * Fukushima, faut-il se passer du nucléaire? (tbf.be, suivi Fukushima) * Les cancers: bombe à retardement?! (lalibre.be, suivi Fukushima et CONTROVERSES) * Robots kamikazes (lalibre.be, suivi Fukushima) * Il faudra 40 ans pour vider et démonter la centrale de Fukushima (lalibre.be, suivi Fukushima) * Fukushima: l'enfance menacée? (arte.tv, suivi Fukushima) * Fukushima, deux ans après...: interviex IRSN (universcience.tv, suivi Fukushima) * Fukushima, un monde en suspension: DEUX FILMS TV, suivi Fukushima) * Sortie du nucléaire: l'Allemagne n'importe pas plus d'électricité nucléaire (ADIT, dossier controverses) * Tchernobyl decommissionning challenges (pdf Nuclear Engineering International, dossier Tchernobyl) |
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